when is it now

jeudi 2 avril 2009

il faut rire de tout, de la montée du chômage, de la descente à ski, autrement ne rien dire, passer sa vie à voir ce qui existe, ce qui n'existe pas est difficile à percer, ou alors avec un perceur de coeur qui est capable de se rendre compte que le dépassement autorisé est à l'ouest de la bretagne, en belle saison il peut passer du temps au bord de mer, mais ça ne dure pas, il faut revenir à l'ancienne version, mais on n'a rien sauvegarder, alors il faut tout réinstaller, ça va prendre du temps, alors allons prendre un café, qui est ce qui paye, la dernière fois, c'était moi, alors pour cette fois je veux bien payer mais après je ne peux plus, je suis pauvre d'argent mais pas d'esprit, je sais compter, rire de tout et de rien savourer un morceau de fromage dans ma bouche et pas sous mes bras, je me raconte et pourtant je n'ai rien à dire ,tout me semble si neutre, les corps se resemblent tous, certains ont de seins plus gros mais à part ça, le regard est le même, pas d'éteincelle, pas plus que dans le regard d'une vache, oh un train, c'est même pas vrai, j'imagine, bon d'accord, on passe à la suivante, attends on a pas fini, que c'est lent, je voufrais avancer, avance toute seule si tu veux, à chaqun son truc, si toi c'est être près de la poubelle

Aucun commentaire: