when is it now

mardi 9 septembre 2014

comment croire,

comment croire, je ne sais pas quoi faire pour être sûr de ce que je dis mais pourtant une clé formidable est pour avoir la chance de passer une vie sans avoir à piocher dans le mur qui me sépare de la tranche de pain, et pour que la confiture coule au bon endroit je dois me mettre en position de prière ce qui est exact pour la plupart des poussières qui traînent dans l'après midi, c'est une chose inutile et bavarde, mais ça c'est encore plus précis que le plus petit des chants à l'image de l'imbécile qui descend toujours ses poubelles après que la lune soit blanche, mais ce n'est pas une raison pour plaire à une fille, ce qui me manque c'est un plein autour de l'annonce d'un bilan positif comme ça au moins je suis sûr de pouvoir aller dans une barque sur le sol, ce qui me plait dans cette aventure c'est le choix qui est laissé devant l'incertitude de la vie, pour que ça soit fait dans la mesure de l'ignorance face au vide dernier, quand l'humain tombe pour ne plus se relever et comme ça traîne il faut en rajouter des excuses valables pour être dans la dimension existentialiste pour que l'omelette soit baveuse il ne faut pas y mettre les doigts, autrement ça devient une chose qui passe pour être simple, mais en fait c'est toujours ça qui existe, plus ou moins pareil en fonction des instances dirigeantes qui pourraient bien un jour avoir la bonne idée de manger un chapeau, comme ça on saurait qui est plus adroit que plaisant, une fois que j'aurai passé la première phase je pourrai commencer à réfléchir à la seconde, ce qui me parait difficile tant je suis incapable de prendre tout ce qui est efficace pour le passer le l'autre côté, voilà pourquoi je passe des heures à me demander et si j'allais là, mais non il faut en faire une autre, ça recommence, c'est toujours un réflexe, une situation bizarre, ça s'annonce sur le côté, il faut faire un effort pour savoir que c'est vide, ensuite je prends le temps de regarder si ça me convient, il faut avoir la sagesse de ses émotions, car au milieu de la vie il y a un temps mort, il faut rejoindre l'autre côté, il faut bien se préparer, si ça ne peut pas se faire tout de suite ce n'est pas grave, il faut juste penser à bien frapper le coin de la table pour vérifier que tout ça n'est pas un rêve, c'est comme ça que j'ai commencé à faire du présent sans amélioration, car voilà ce qui se passe quand on met tout ce qui se passe au-dessus de la tentation de partir, il y a une confusion, une erreur de parcours, des endroits inconnus, de la tarte aux fruits, et en ce qui concerne le changement, un pas incertain dans de nouveaux habits, pour que ça se mette en ordre un jour qui sent le chocolat, c'est avant que ça se mette en orbite, ce qui coïncide avec l'arrivé d'une omelette au lard, ah la vie, quel bel exemple de rire forcé, quand on a la chance de venir au milieu de la pression, ce qui est définitif pour que tout soit merveilleux, un jour exact, une pensée qui se libère, des intentions pacifiques, des larmes prises au moderne, de la soif de vivre dans un projet unique, et quoi encore que, un geste d'apaisement, des billes au fond d'un sac, et pour demain une préparation à dire ce qu'il faut pour passer le mur de la stagnation, c'est une vérité qui se casse en mille morceaux, pour tout le monde puisse dire, oui, c'est bien le pas qui manque, et maintenant une folie qui me décourage de prendre tout ce qui est nécessaire, je dois me contenter de passages aléatoires, ce qui fait un peu de retours piteux, mais je sais bien que c'est la limite à ne pas dépasser au risque de se prendre une précaution impossible à maitriser 

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