when is it now

lundi 8 septembre 2014

une seule fois je vais aller vivre

une seule fois je vais aller vivre car depuis le début de cette formation je n'ai jamais eu le temps de me demander pourquoi j'arrivais à respirer ce qui ne me pose aucun problème, tout ce qui est évident n'est pas enregistré, ça passe légèrement au loin sans avoir de précision sur l'endroit où ça tombe, car en même temps que tout et avoir une gentille déraison, il est sûr que tout ce qui descend est là dans l'ombre, alors dans un sursaut de réaction débonnaire, je prends peur et je raconte quelque chose qui n'a aucun rapport avec la venue au monde d'un bébé gorille, car la grille est fermée, alors je me dis quoi encore mais tout à fait d'accord, une chose est une chose, ça commence dans le début et après on se quitte pour apprécier le vide qui s'installe à droite de la pendule de grand-père, et moi qui croyait que tout ça était perdu mais voilà que je suis dans une ambiance soudaine, il faut que j'évite le problème, il arrive droit sur moi, que faire, je n'ai pas le temps de décider, il faut que j'agisse instinctivement pour que demain je me réveille en sueur, que peut me faire un savon liquide quand ma peau est sèche, mais ce n'est pas là que ça se passe, c'est en face dans la maison bleue, car pour l'instant on n'a pas d'autre indice, c'est bleu et c'est tout alors je me raccroche à l'idée principale qui sent le chocolat chaud, puis par malice je fais le lit, ce qui revient au même surtout quand c'est court, ce qui arrive quand il est tard et que tout l'autre va de travers, alors on risque la collision, quelque part ça commence, il faut que je sois au courant bien que je n'ai aucune envie d'aller trop vite, tout se découpe lentement, il faut savoir apprécier le moment, il est là, il est à découvrir, après il sera trop tard, alors je m'y mets, c'est bien, c'est petit, c'est un tout mais ça met tout ce qu'on veut, c'est pour une source immédiate, et dans la chambre on pleure pour ne pas avoir assez ri, c'est comme ça la vie on s'habitue à tout c'est juste une appréciation modeste, pas de grand mouvement, c'est minuscule aussi petit qu'un dé à coudre, car ici c'est parti et pour de bon, car cette fois c'est la bonne, j'avais bien dit que tout ce qui se passe est neutre, alors pour affronter le présent il faut se mettre en position de mordre le papier, si c'est un 9 c'est que c'est ancien, mais pour le reste il n'y a pas de règle, car depuis que l'humain existe il faut bien avouer que tout ce qui est maintenant la modernité est complètement incroyable, un peu plus qu'avant car ce qu'on nous promet c'est la fin des saisons, il n'y aura plus d'hiver, de printemps, d'été, que des parties chaudes et pluvieuses, est-ce qu'un jour on vivra en France comme au Guatemala, avec une forêt vierge comme celle de l'équateur, mais pour être vrai je dois dire que je ne sais pas comment le vérifier, car ici, c'est plus encore que là-bas, alors j'ouvre la fenêtre, je renifle pour savoir quel est cet air, je prends la pose, j'attends que ça passe, et ensuite je vois que c'est le soir, voilà une journée de passée, il n'y a donc rien à attendre, tout est fini, il faudrait quand même savoir où ça va, car il y a un sens à toutes choses, alors pourquoi pas un centième de millième et encore c'est trop vague, plus vite, plus fort, et que tout ce qui se retourne soit mis dans une boîte pour y être complètement averti de la suite sous forme de plaisir facile, mais ça ce n'est pas encore déterminé, car ce qui se passe est une invention qui recommence à chaque instant, on ne peut donc pas prévoir quand il faudra crier quelque chose pour être en phase avec la réalité débordant le cadre des installation ferroviaires

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