when is it now

vendredi 28 février 2014

ce ne fut qu'un

ce ne fut qu'un ensuite deux mais tout de suite sur ce mur, chante un oiseau, que dit-il, j'essaye de comprendre, parle, hurle, voir, mais quand même, c'est drôle, ça fait du bien, mais pourquoi je suis bien, je ne le fais pas exprès car tout ce qui est parti ne revient pas, alors que vivre d'autre, faire ce qui plaît, montrer ce qu'on sait montrer, et entendre une prière qu'on chante pour ne pas être cependant dans un ordre depuis que le montant est ensemble pour toujours, c'est merveilleux, ça ne correspond pas au plan prévu, il était dans un parloir, il fallait qu'il fasse ce qui était important, car depuis qu'il savait pourquoi il était perdu, il avait changé de montre, ça ne dit pas pourquoi il faut toujours être ce qu'on est, ne peut-on faire autrement, c'est une opinion, même si quelques oignons ne font pas l'essentiel du goût, c'est comme ça que je comprends pourquoi je suis comme je suis, un ensemble de chairs parcouru de nerfs et de sang avec un cerveau pour penser, et je pense beaucoup, ça ne peut pas aller plus vite, c'est juste un moyen que j'ai trouvé pour aller d'un point éloigné à un autre point que je n'ai pas encore défini, car le temps manque, je ne suis disponible que de temps en temps quand tout à coup je me décide, je m'avance, je lance un jeu, je suis, ensuite ça monte sans vouloir se faire une place car étant donné l'avancée de la science, on sait de quoi on parle, peu à peu on découvre tout, ce qui fait qu'on oublie l'essentiel, c'est de faire toujours un peu de tout pour éviter de plaire trop vite, c'est l'erreur de beaucoup, en plaisant trop vite on vide tout d'un coup, il ne peut pas être question de montrer tout en avant, car dans un sens ça coince et dans l'autre, et bien, ça ne peut pas aller car tout est brusque, ça ne pense pas, c'est intuitif, alors pas de panique, tout est bien, c'est juste une petite intersection, deux routes se croisent, quoi de plus banal, et pourtant quand on y regarde de plus près, il ne s'agit pas de ça, non, et non, il n'y a aucune raison de se laisser faire, c'est quand même ça qui est possible, alors pas de raison fausse, tout est là, il faut y aller, n'ayons pas peur, ça peut aller

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