when is it now

lundi 28 octobre 2013

encore si mais non ça ne peut plus être, un souvenir, une vague qui passe à l'ouest, de l'encre noire, un essai une fantaisie et depuis toujours des globules blanc pour le changement, des globules rouge pour je ne sais quoi d'important, car ce que je gagne c'est quelque chose qui ne prend pas la peine de dire bonjour, car on attend autre chose, mais ce qui vient c'est formidable, on devrait se réjouir à chaque instant de pouvoir ne rien faire, car un jour ce sera fini, on pourra ne plus rien faire, alors là tout change, ça explose dans tous les coins, il faut s'arrêter, ça va trop vite, un trésor de puces et des chats noirs pas simplement comme si on avait le pouvoir de faire le bonheur, mais il suffit de faire autre chose, un moment après, ça vient par là, c'est une question de minutes, des heures après, je peux toujours faire un effort, ça cogne dans le plafond, des problèmes d'isolation, mais moi, je sais bien ce qui se passe, une fin qui se répète depuis le temps de voir ce que je sais un peu à droite, mais pas complètement aussi dans le choix de voir ce qui pourrait chanter un peu comme à la maison, des gens qui viennent, des gros seins attachés à une tête qui se balance en riant, rien à dire, je constate ce qui se passe, un trou en provision pour la nuit, une chanson morte l'année dernière et tout à coup une pensée profonde qui nage au milieu des tranches de vinasse, mais quand je pense à l'armoire, je ne sais quelle émotion vient me transporter dans un autre univers, car maintenant je suis un homme, c'est un fait, mais depuis vingt ans je plante des histoires qui ne se finissent pas, ça ne marche pas, c'est un gentil rasoir, mais quelques fois il coupe dans un effort impatient, car ce trottoir est dans une situation qui ne peut supporter la mort dans la journée, il faut attendre la nuit pour constater que la lumière manque

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