when is it now

lundi 21 juillet 2014

une fois de plus je suis d'accord

une fois de plus je suis d'accord avec moi, car en général c'est ce qui se passe je réfléchis et je tombe d'accord avec moi, ensuite je passe par là je comprend ce que je peux et je constate que tout va bien alors je m'assois et je pense à ma vie, des jours, des jours, des jours, il y en a beaucoup, certaines fois c'est bien et puis d'autres fois c'est bien, alors pour faire la moyenne je me demande ce que ça fait d'être bien, ça doit être un sentiment puissant aussi grand que lent car dans la vie ce n'est pas la peine d'aller vite, on rate tout et on devient invivable car pour être au milieu de l'essence principale dans le dialogue entre les gens, je crois qu'il est préférable de passer outre, c'est à dire que dans la direction principale, celle qui prend de la distance avec l'ennui, il y a une sorte de vertige avant de dire oui, car c'est un défi qu'on se lance, il faut y voir un manque qui se traduit par une nouvelle adhérence ce qui correspond à l'ancien avec du nouveau, car pour bien faire les choses, il faut se demander pourquoi c'est ce qu'on cherche, un fois qu'on a dépassé le niveau un, on calcule ses chances de poursuivre le mouvement mais d'un seul coup tout arrive, il faut se dépêcher, il n'y en a pas pour tout le monde, et à ce moment là, précisément au-dessus de la porte, une crois blanche qui indique que dans cette maison on n'aime pas le poisson, ce qui n'est pas grave car dans ma poche je garde toujours une boussole qui m'indique les quatre coins principaux, qui sont le sud, l'ouest, le nord et l'est et quand on sait où on est, ça fait plaisir, car au point où j'en suis dans mes recherches, je me rends compte de la difficulté de prendre part à un grand mouvement réformateur, car dans la société il y a des freins puissant qui n'ont aucune envie de voir arriver des gens qui veulent tout changer, le nom, l'apparence, la jouissance, l'enclume, le baromètre, la citrouille décoiffée, mais tout de suite sans changer de chemise je m'élance dans le calme, une fois que j'arrive en haut je vois tout ce qui peut me servir, une pelle,  des ciseaux, de la colle des rubans multicolores et d'autre artifices qui me donneront de la force au moment de faire un saut dans le vide, car au milieu de ma vie je me sens prêt à commander un groupe pour l'assaut final, ce qui me fait chanter alors que je n'aime pas ça, mais il ne faut rien négliger quand on arrive à ce niveau de la compétition, je crois qu'il faut que je connaisse mieux le milieu car ce sont les extrêmes qui font le plus de bruit, donc dans une nouvelle tentation qui pourrait bien un jour devenir un soir plus précoce et quand c'est croyable un toit du monde, un je ne sais quoi d'aérien et pour que ça se transforme en idiotie particulièrement active, car c'est comme ça que ça se passe, il n'y a pas une heure mais tout de même quand ça va vite c'est dangereux, alors pour ne pas me mettre une saucisse sur la tête, je crois qu'il est préférable de prendre un autre chemin qui me mènera autre part, car moi j'aime la concorde alors pour ne pas être pris en défaut je m'absente et j'essaye ailleurs de plaire, c'est ce qui arrive le plus souvent, je me souviens d'une fois où en étant capable de faire tout ce qui était possible je suis parti dans un grand éclat de rire, alors que tout le monde pleurait, ensuite je suis parti car les gens me menaçait avec de fourches et des bougies en forme de marteau mais bon ce sont les risques du métier ça ne marche pas à tous les coups, mais dans l'ensemble, ça va bien, disons que je m'en sort et sans paraître au-dessus de ce que je suis capable de faire je sais que ça peut aller quand je suis en forme  

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