when is it now
samedi 2 février 2013
croire quoi, ça dépend de l'heure, par exemple, il est midi, encore une fois je me mets à table, j'ai faim, ça recommence, combien de fois aurai-je faim, des milliers de fois, c'est la vie qui s'écrase dans l'estomac, oh les belles odeurs de viandes qui finissent toute noires dans l'eau bleue, quoi qui quand pour cette raison qui déraille, ce sentiment qui prend toute la place, un souvenir c'est ancien mais ça éclate dans la tête, on ne peut rien empêcher, ça commence bien, rien à dire, perfection de la mécanique, tout marche bien, c'est un plaisir et puis tout à coup je tombe, qu'est ce qui ne va pas, c'est à l'intérieur, un dysfonctionnement de la partie pleine à côté de l'antenne parabolique paratonnerre et parachute quand il pleut, c'est le soleil qui nous fait vivre, il arrose les lendemains qui chantent, car aujourd'hui c'est plein d'émotions variées, ça devient toujours un peu car on perd beaucoup à chaque saison, l'hiver on mange gras et l'été on mange des salades avec de la bonne humeur, car c'est comme ça qu'on va bien, c'est une réalité obscure qui monte très haut, ça balance dans la mer, ça construit sur la terre, ça creuse quand c'est le moment, un passage secret qui mène on ne sait où, ça fait longtemps que ça existe mais pour le moment c'est l'inconnu qui mène le tambour, ça tape dans mon coeur, il y a quelqu'un qui veut sortir, mais pour le moment c'est bloqué car la porte est fermée à clé depuis qu'il y a eu des tentatives de liberté conditionnelle, un jour il faisait nuit, et ce fut le dérapage, tout s'en va, tout arrive, on ne sait pas ce qui se passe, c'est merveilleux, c'est beau, ça va loin, on est content, aujourd'hui on y va
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