when is it now

samedi 16 février 2013

ô joie, ô splendeur de la vie, tout resplendit, tout existe, tout respire, hier, demain, tout est beau, quand je passe par un endroit, j'essaye de voir l'essentiel, moi au milieu des autres, rien d'autre n'existe, un passage par ici, un passage par là, et puis une vision simple, il est vivant dans une réalité acceptable, pas d'accord, pas de croyance, pas de résistance, pas d'envie, pas de pas et pas encore, des fois, des morts, des justices, et puis de de la merde, enfin de jour, de la fatigue, des instants de jouissance, de la soif de vivre, des projets, avant que le grand metteur en scène ne dise, stop, ça suffit, c'est assez, on ne recommence plus les même erreurs, on chercher à corriger les passages douteux, ici, et là, et encore là, ce n'est pas assez, il faut tout brûler, tout assaisonner avec de l'huile et du vinaigre, simplement accompagner la vieille qui n'a plus la force de sortir de chez elle, sans la peur au ventre et avec de la chance de recontrer quelqu'un avec qui on passe vingt ans dans l'amour, un instant unique qui se répète des millions de fois, une folie légère, acceptable, une entente malgré le froid et dans le chaud, un lapin dans la rue, une histoire unique, des antilopes en Afrique de l'argent dans la banque

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