le problème vient du silence

le problème vient du silence qui impose de croire que c'est perdu, mais quand je réalise que c'est plus bas qu'avant je pense que c'est le moment de vaincre la peur, car au même moment en Indonésie c'est la nuit, donc si je calcule a+b je trouve le résultat suivant la règle de l'éminent spécialiste des variations de températures en milieu aquatique tempéré, ce qui se passe ensuite c'est une contrainte de faire qui ne veut pas partir, ça fait tellement qu'elle est là qu'elle ne sait pas quoi faire d'autre, je dois donc allumer un feu pour l'obliger à réfléchir, ce qui se passe en deux ans, une fois que c'est libre, je me retrouve devant un trou, ça ne me plait pas, je pense renoncer puis je vois un petit passage qui serpente sur le flanc de la montagne, je prends le risque à ma charge et je rentre immédiatement chez moi pour penser à la suite des évènements, si je prends le pas de moins dans le sens de la longueur avec la certitude de faire ça en sachant bien que tout aussi loin que la lumière qui passe sous la porte je vois clair, ce qui n'est pas encore fait pour que ça chante, mais tout de même en étant fait à l'image de quelqu'un qui avance sur la route, je crois qu'il est utile d'avoir une assiette pour y mettre un steak en avance sur sont temps mais ce qui me gène le plus c'est d'avoir tout le temps envie de bière, ce qui ne peut pas aller avec une tentative de maigrir, je dois faire un gros effort pour passer plus bas, dans une zone intermédiaire qui peut peut-être un jour s'ouvrir sur autre chose mais pour le moment je gère un stock de kayaks qui coulent dès qu'on s'en approche, ça me convient, je ne fais rien de la journée et les jours passent comme si j'étais le dernier humain survivant après une troisième guerre mondiale nucléaire, mais un jour je suis obligé d'arrêter de rêver et de prendre ma vie en main, ce qui veut dire que les sandales vertes étaient dans le placard quand j'ai entendu un cri, je suis sorti dans le jardin et j'ai vu un arrosoir qui se trouve d'habitude dans le sens de la porte du garage que c'est haut New-York au moins dans la partie qui m'intéresse ce qui se passe ensuite c'est une suite qui n'a pas de début, alors pour faire court, je me rase deux fois par semaine, sinon tout va bien, ce qui se passe le plus souvent c'est d'avoir faim, une gestion à bras longs, pour que la cendre recouvre complètement le style de mer en sauce parmi les autres sages qui voudraient bien voir un film de saut en parachute, ce qui se fait maintenant car avant on sautait sans rien avoir eu avant, comme si on pouvait le dire sans contrainte, mais oui je vais le faire, sans comparaître devant des juges ignares, ce qui en passant comme ça sans rien en dire revient à montrer que ça continue malgré la charge de valeurs incertaines à la fois dans la mer que sur la table, des oiseaux qui dansent dans la nuit et puis vers une heure du matin j'entends clairement un clairon qui sonne la charge, je me précipite à  la fenêtre de ma chambre et je ne vois rien, il fait nuit et tout ce que je fais après c'est d'avoir une idée de rentrée à la fois dans la version internet mais aussi dans le sens immédiat, ce qui fait de l'ordre au plus près dans la situation stupide qui voudrait me faire croire que tout ce qui va à entendre le plus loin pour que dans un mois de mai une fois par jour et par centaines de voitures une suite de premières donc coude code stade plein et bouteille ouverte pour que ça change complètement une maison blanche avec des vaches qui ruminent depuis des siècles et moi qui suis en Suisse pour brûler tous mes chocolats qui ne peuvent plus servir