when is it now

jeudi 28 mai 2015

jusqu'alors ce fut certain

jusqu'alors ce fut certain et puis dans l'enthousiasme des instants perdus je vois apparaître une voile blanche qui dessine un arc en plein ciel et me voilà emporté dans une rêverie de voyage dans la mer qui s'ouvre pour me laisser passer à sec, et comme c'est un mois de mai qui ouvre le bal, je vois se balancer au fond d'un jardin merveilleux des oiseaux qui chantent l'amour puis vers quatre heures je me brise le cou sur une superbe attention des moineaux atlantiques puis comme c'est l'usage dans une situation bénéfique je vois un appareil sorti d'un usine à pantalons, ce qui me pousse à la même question qui se pose toujours au même endroit qui entre par ici et part par là pour être finalement jeté dans les ordures du prince, mais voyons plutôt l'intérêt qui me procure du plaisir, car il faut voir clair, je ne suis pas pour la paresse mais ce qui m'étonne c'est de voir que ça change pour arriver dans un mois plus tard, ce qui me donne la tentation d'aller moins vite, car au fond ce qui baigne c'est le doute sur soi, un poids qui ne se déplace pas montre que tout ce que je fais est conditionné par une pensée qui ne sait pas pourquoi c'est fermé le lundi, mais cette fois je tiens une information capitale qui entre en conflit avec d'autres intention qui n'étaient pas arrivées jusqu'au plafond, mais voilà que la pression tombe je m'attendais pas à cette nouvelle, comment je fais maintenant que je suis libre de vouloir, faut-il que j'aille plus loin mais avec quels moyens car je sens bien que tout s'approche avec discrétion même si c'est vous ce n'est pas moi, alors que tout le reste est plus ouvert il faut que je sois disposé à prendre part à cette évolution dramatique mais ce n'est pas là qui entre le premier, c'est tout autre élément par ici qui ne sont pas autrement mais rapidement je dois faire mon choix, alors je ferme les yeux pour voir ce qui n'existe pas et je comprends que tout est perdu que le temps vers ce temps pour être diminué au moyen d'un trop mélangé mais voilà que la première est tombée, il faut que j'en profite pour être dans la pièce principale, car à ce moment difficile de passer inaperçu alors pour masque ma gêne je fais un tour sur moi-même et je tombe par terre ce qui entraîne le rire, car on rit toujours quand on voit quelqu'un tomber par terre, ce qui est drôle c'est de paraître indifférent à ce qui se passe devant moi, car pour vivre il faut respirer donc pour ne pas vivre il faut faire autrement, mais pendant ce temps là je cherche pourquoi il faut passer au détriment des intentions facilement digérables plus à droite et finalement dans l'action essentielle pour la survie, quoi faire pour être mis dans une condition approchant le nouveau qui sent encore la colle mais une situation temporaire est décidée depuis le niveau le plus haut, ce qui me pousse à infléchir le moyen pour que la puissance devienne intentionnelle mais rapidement je fais un pas en direction du sud, ce qui me paraît être une bonne occasion de faire ce que je veux dans l'espoir de voir ce jour qui me donnera raison, mais voilà une erreur qui se glisse sous la feuille, je veux être et comme ça je suis toujours plus pensif, car pour la vie c'est un passage sans action, mais moi j'entends bien le silence, donc croire, faire parler encenser parchemin et vitesse, trouvaille ce qui entre ne sort pas, et voir ce qui se passe n'entraîne pas de décision hâtive car en pesant le pour et le contre il y a matière à prendre du temps pour se mettre en condition de remercier dieu de me faire passer pour un idiot auprès de la reine des pommes qui ne fait pas dans la demi-mesure

Aucun commentaire: