when is it now

jeudi 12 mars 2015

ce qui manque le plus

ce qui manque le plus c'est d'avoir dans la tête tout ce qui faut pour être ouvert, car on s'aperçoit très souvent que la baisse est forte et que pour remonter on attend que ça passe, du coup rien ne se passe et personne ne s'étonne, ce qui fait que depuis des millénaires les générations passent et se tassent, sans avoir de montée dans la générosité, sans avoir des connexions dans l'amour, tout est séparé, sans goût, sans avoir la vie belle, tout s'épaissit dans la monnaie offerte au dieu qui est faux, dans des salades de faveurs organisées pour piller les valeurs de la chambre forte, dans des lieux identiques à l'organisation des mafieux, pour que ça saigne et quand le butin est dilapidé, il faut recommencer à tuer pour avoir la sensation de plaisir plaqué à l'annonce de la santé vacillante en même temps que tout ce qui tombe, ça c'est encore plus avec le coin sombre, dans des années pleines et sans avoir raison, des choix incertains et pour la mer des poissons plats, ce qui entraîne automatiquement le parlant dans le cinéma, qui a poussé comme des champignons qui n'ont que le nom mais pas les oreilles, ce qui est semblable à tout ce que j'entends par le nez, et pour avoir la vie encore plus enroulée dans des bains chauds en fonction du degré de saturation pour avoir une vision sereine en tous cas je suis au courant de mon carreau, ce qui fait une entrave au plaisir pour savoir manier le marteau juste un peu de patience, une fois que c'est enfoncer on peut aller faire autre chose et maintenant que tout est en ordre je commence à me détendre ce qui fait du bien quand on peut avoir cette maison faite en bois dans le moment d'après quand c'est le choix qui dépasse la règle et ce n'est pas encore ce qui se passe tout de suite, en mois, en toi, en foi, que faire du temps, plaisir, mesure, mer qui balance, temps qui danse, et poids qui s'enfonce, pour que dans les coins les plus lointains on entende le bruit d'une chasse d'eau, c'est fort et ça monte plus haut que tout ce qui sent mauvais, ce qui est un brut, un bruit, un broute, un breton brisé par ce qui est dans et autour le manteau de pluie, l'odeur des poutres et le savoir des vieux mariniers qui autrefois partaient sans savoir ce que ça fait de sentir le métier en étant soi-même inquiet de savoir que c'est la dernière fois que le soleil se lève, et quand ça fait plus mal et que tout est tombé, une lame se met à se mettre dans la plaie, ce qui se trouve à côté,  une proximité pleine de douleur, mais à tomber la tête en premier dans l'ordre des preneurs de terre, quand la sauce est blanche pardon au pompiers, ce qui sonne le plus faux c'est d'avoir cru que tout ça c'est une peine qui s'annonce dans le papier du jour dans un mixte jambon salade, pour que ça se concentre au mieux dans une heure mais au pire dans une éternité comblée par le désir de vivre un peu à l'abri du besoin et pour ça et aussi pour autre chose qu'on ne dit pas car ici c'est plus vrai que nature, alors que dans chaque partie de vivre il y a gros à parier que tout ce qui est là n'est pas là par hasard mais avec ce génie que démontre par l'exemple une situation bue jusqu'au fond et par ici la tentation de partir dans la noire, mais tout ce qui tremble c'est le plancton quand l'herbe verte se couche sous le vent, quand les bâtons se plaignent de s'accrocher aux ronces, et ce qui n'est pas encore né, c'est l'envie de vivre libre, au milieu des roseaux et d'entendre chanter le patron du bar qui ne peut avoir d'autre distraction car étant lui-même un tripatouilleur sans avoir pu jamais fait

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