when is it now
mardi 24 mars 2015
ce qui se passe en-dessous
ce qui se passe en-dessous est une réalité débordant du cadre à l'ouest des idée reçues et pour cette fois une science qui accepte le message incertain de ceux qui ne voient pas que tout est bloqué par la faute de cette foule qui avance dans le mauvais sens parce que ça été mauvais depuis longtemps, alors que la vie annonce une justification il faut savoir que ça concerne beaucoup de monde capable d'entendre le bruit de l'amour, une petite chanson douce qui se met à vibrer à l'approche d'un arbre ce qui rend le monde passable aussi fondu que méritoire, mais avec une tendance surprenante, ce qui fait descendre le niveau des attentes et ce que ça met tout de suite dans le champ c'est une bonne couche de mazout, pour être pire qu'avant, dans la terre qui s'enfonce jusqu'à la couche des volcans, car ce qui est dans le centre de la terre n'est pas ce qui se passe au-dessus, c'est un mélange de ceux qui ne pensent pas qu'il est utile de voir que c'est riant, mais tout cette aventure devient un jour payante, ce qui n'est pas pour tout le monde un choix judicieux car étant donné le vide qui sépare chaque jour et avec la claire conscience de bien réparer le doute, une fois que c'est mieux, mais vraiment en sachant bien enlever tout ce qui gène, de l'air, des envois mal ficelés de fiches d'abonnés morts depuis longtemps, une fois que c'est rangé, la place libérée est une chance de faire un adieu au lancement précoce dans le sens des départs, pour que tout soit mis dans un espoir de vivre oh dieu, que faire de tout ça, un espoir qui monte sans savoir que si c'est deux, ça peut aller mais si c'est trois, alors que tout s'écroule dans la chantilly, le sucre passe par-dessus, il n'y a plus rien à attendre de la moutarde qui reste silencieuse dans l'autre pièce, alors je me dépêche de faire un nœud, en prévision de la suite, car si je ne fais pas attention il se pourrait que je sois obligé de prendre ma cuillère et de prendre une décision qui me pousserai à concevoir que tout ce que j'entreprends est voué à l'échec et comme ça je comprends mon destin, celui qui a tout pour faire ça mais qui ne peut pas le devenir car au point central se joue un jeu qui n'a pas de règle, ce qu'on sait parfaitement n'est pas utile dans cet espace, c'est plutôt de l'imagination qu'il faut avoir, il faut puiser dans la soute avant et trouver des barrières blanches, des savons de Marseille, des couteaux suisse, de marrons d'Alsace fourrés à l'envie gourmande, mais dans une sauce blanche, que si on a des dents pour tremper le menton dans un assiette creuse, je me demande si je ne fais pas autoriser le passage des mariés, qui ne voulaient pas être mis dans un salon doré, mais ce qui passe trop vite, c'est le bonheur de vivre, on voudrait pouvoir arrêter un moment, mais ça coule aussi lentement qu'un pneu qui voudrait gonfler comme la grenouille qui voulait ressembler au bœuf, voilà pourquoi je préfère faire un tour en attendant de montrer ce que je vais faire bientôt, ce qui ne me place pas en tête mais en queue pour la bonne raison que tout ce qui se passe en dehors de l'habitude de faire ça, c'est une croix lourde à porter pour être mis dans un placard qui ne va pas s'ouvrir avant d'allumer le feu dans la cheminée et quand c'est prêt, je crois que c'est le moment de dire au-revoir, ce qui se fait très vite, dans le temps précis d'une passation de témoins, et vers un verre vide, je vois au travers le silence qui précède l'attaque, ce qui arrive alors pour être mis à l'abri, une chose simple qui se dit bien dans un moment de pistons en jeu pour que ça change de ton plus mieux
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