when is it now
samedi 21 mars 2015
cerise sur le gâteau des gens sont venus
cerise sur le gâteau des gens sont venus pour me dire que c'est mieux qu'hier mais qu'il manque encore quelque chose mais comme personne ne peut me dire ce qui manque j'essaye de continuer à chercher, ça me prend beaucoup de temps et pas mal de vie, car je vois que m'épuise de plus en plus à chaque fois que je tente de percer le mystère et je ne doute pas qu'un jour je devrai vivre encore plus que maintenant en fonction de perdre ce que je gagne pour la dernière fois et cette fois encore partir en-dessous pour que ça soit plus clair, oui je sais que c'est plus encore vert par là, mais quoi encore, faire le voyage, avoir cette envie de vivre sans engagement à l'abri d'un mur romain datant de la dernière guerre mondiale et que faire de mes haricots, je compte jusqu'à deux et voilà que je passe au-delà des manques, ce qui me fait plaisir pour la simple raison que tout ce que je fais n'est pas dehors, je reste à l'intérieur, car au moment de nommer mon erreur je me passe un morceau de chocolat dans la bouche, ce qui fait que j'attends encore un peu le moment de vaincre la douleur, cette petite institution qui se place au creux de la solitude pour que tout soit ouvert dans les chambres et dans la cuisine, quand ça se mettrait à faire un poids de plus en plus animé et même si tout est vrai une poire pour la soif et une mer pour la mère, ce qui n'est pas encore déterminé mais justement sans détour et avec la franchise qui me caractérise, je suis pour la peine de mettre du premier coup le fil dans l'aiguille, ce qui ne me pousse pas trop juste un peu en même temps que tout ce qui demeure dans la date qui voudrait me faire croire que c'est encore lundi alors que je sais très bien que c'est plus que ça deux ou trois au moins et pour ta minerve, tête en bois et par ici c'est plus agréable, ce qui n'est pas pour me vendre un thon, mais des aiguilles ça coupe en deux, alors que la terre ne bouge pas dans le sens opposé à la croix merci de vous essuyer les chaussures avant de pénétrer dans le talon, ce qui se passe n'est pas du meilleur effet, ce qui n'est pas effrayant mais ce qui est payant est pris dans un train dans le meilleur des mondes et plus encore dans l'efficacité des croyances anciennes avant qu'on soit connecté dans l'ensemble des astuces pour que tout soit effacé, le manque, l'envie, le noir, le jaune, le vert, et quand on mélange la sauce avec la viande, que faut-il d'autre, une table, des chaises et quelques personnes pour être ensemble, n'est ce pas merveilleux de vivre en sachant vivre heureux, plus encore que ça devrait normalement et quand je pense à ça je suis plus satisfait encore que ça commence un peu à m'ennuyer car ce que je constate à mesure de découvrir la vie c'est que peut-être dans cette dimension pour savoir faire la cuisine, et pour que ça commence plus tôt je choisis de faire un détour par l'arbre connu pour être le plus intéressant sur le plan de la vitalité harmonieuse, et plus encore, je prends pied dans un nouvel endroit qui vient de se faire décerner un prix reconnaissant sa force de persuasion plus que cette fois mais moins que d'habitude car ici on ne compte pas à l'endroit mais vers un objectif imprécis qui ne peut pas être mis dans une caisse fermée à clef, quand ça se passe comme ça je pense tout de suite à partir, car étant moi-même doté d'un engin agricole qui va tout droit avant de tourner pour respecter le sens commun et quand ça peut aller plus vite j'attache ma ceinture de sécurité, on ne sait jamais ce qui peut se passer un trou dans la terre ou un marron qui sèche
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