when is it now

vendredi 20 mars 2015

c'est le salon où ça

c'est le salon où ça sent mauvais comme ce matin où j'ai mis les droits dans le placard ce qui fait huit plus un dans le moment suivant, une fois que c'est fait je continue à monter dans le grenier pour trouver la dernière araignée, ce qui se passe pourtant tout de suite c'est une gentille admiration pour les ennuis facilement négociables ce qui est révolutionnaire et maintenant pour être mis dans une condition inacceptable je suis au détour d'un sentier sinueux ou pour savoir l'heure un coucou qui sort la tête pour dire je suis l'heure et tout ce qui compte maintenant c'est d'avoir une poignée de semoule pour être mis dans une situation agréable, tendrement je tends la main pour la sauver, mais ce qui se passe est une autre situation plus adroite et comment le faire gentiment quand des monstres nous tirent dessus avec des fusils mitrailleurs, et comme toujours la paix est mise en dehors pour un moment, il faut agir avec la plus grande fermeté, et avec aussi le choix un, ce qui pousse dans une chambre avec un balcon sur la mer, ce qui n'était pas conclu dans le marché ouvert sur toutes sortes de solutions inutiles, mais pour ça je veux bien faire un effort, car ce qui compte dans la vie c'est le résultat, une fois pour toutes et jamais ailleurs, car moi je suis ici, et maintenant, pas demain et ailleurs, autrefois c'était possible, mais voilà que la modernité veut changer les règles, c'est nouveau, mais ça ne parait pas être fait pour arrimer le bonheur sur la terre, imaginons un instant que tout est beau, sans avoir de pensées mauvaise, un corps qui passe se balançant d'un côté à l'autre avec toute l’innocence d'une jeunesse soudaine, mais voilà faut se faire une raison, ce qui se passe en-dessous n'est pas ce qui est au-dessus, donc pour être mis au premier plan il faut savoir ce que ça veut dire, je vois très bien pourquoi on vit, mais comment dire, ce manque qui à chaque fois qu'on pourrait y arriver nous dérobe la victoire, ce qui fait qu'on pousse toujours le même glaçon en pleine chaleur, et comme ça on est sûr de pouvoir faire un bout de chemin en moitié extérieure et en moitié intérieure, une fois que c'est fait on peut rentrer chez soi en riant, car le rire c'est ce qui fait l'humain, c'est le seul à pouvoir rire d'une situation triste, sans avoir besoin de se nourrir, ou de partir trop tôt mais vers minuit il faut savoir faire attention à la venue d'un manque de passion, ce qui se traduit facilement par ce genre d'autruche qui se moque de l'ennui, car pour être mis dans la terre faut d'abord savoir ce que ça veut dire, et quand on est pour ça c'est que dans le sens de la montée il y a un cas astucieux ce qui fait que tout ce qui descend est mort, une fois que c'est équilibré on attend que ça passe, et vers midi, il faut simplement être prêt à se montrer gentiment comme si tout allait bien, et c'est pour ça que tout ce qui contredit le passage est immédiatement mis en circulation financière, ça lui apprendra de poser trop de questions, moins on en sait mieux ça vaut, comme on le disait avant que la baguette de pain soit décidée pour être en première place ce qui fait la deuxième fois que je rentre dans un mur, ce n'est pas pour ça que je m'entraîne, ce qui est compliqué c'est de se faire une raison qui tienne contre les assauts du vent violent qui nous pousse malgré nous dans une direction impossible à traiter en raison de la progression de la maladie de la vache folle, ce qu'elle peut faire alors c'est de détruire l'espérance de vivre ensemble, dans un temps négocié par les puissants en fonction à la frontière des autres 

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