dans la vie il y a deux catégories,

dans la vie il y a deux catégories, la une et la deux, ce qui fait que quand c'est comment alors que pourquoi fait toujours la même chose, je ne comprends pas ce que ça veut dire, ce qui est pour la première fois une deuxième chose à voir, et quand je sors je prends toujours une veste, je ne sais jamais pourquoi mais je fais ça parce que je trouve que c'est une habitude charmante, et que je ne vois pas pourquoi je descendrais plus vite, j'ai mon rythme, ça me détend, je prend par là pour éviter de passer trop loin, ce qui ne me convient pas car j'ai comme ça une façon personnelle de voir la vie, tout me convient jusqu'à un certain point que je voudrais encore pousser plus loin, mais ça c'est compliqué, il faut demander l'autorisation et comme le chef est sourd il vaut mieux faire des gestes assez clair mais ça c'est un genre nouveau, ça n'existait pas avant, quand on n'avait pas encore fait ça, mais ce qui n'est pas fait dans le moment c'est une toute autre chose qui ne dépend pas de moi, moi je ne m'occupe que de moi, comme ça je me connais bien depuis que je suis né, et quand j'espère que ça va aller dans le bon sens c'est que tout ce qui se passe dans le monde est d'une grande violence, ce qui entraîne facilement dans le désespoir, mais juste en face je vois une raison d'espérer, ce qui n'arrive pas souvent, que fait-elle là, elle s'ennuie personne ne veut la prendre c'est une catastrophe, il faut appeler les pompiers de l'âme, à moins que je la prenne chez moi, j'ai un peu peur, ce n'est pas très grand dans mon appartement, mais j'ai la conviction que tout sera bien fait, et pour que ça commence rapidement je m'abonne au certain attentif c'est une nouvelle façon de faire dans tous les cas, ce qui est vraiment astucieux, car dans la vie on est vite amené à faire face à des situation diverses, et quand c'est l'heure je me renverse complètement en arrière, et dans un souffle je tombe par terre, ensuite je vois à l'envers mais ça ne dure pas longtemps et quand je suis debout, je comprends ce qui est arrivé, j'ai simplement oublié de fermer la fenêtre, et je pense qu'il va pleuvoir, mais comme je suis déjà très loin du point de départ, je renonce pour le moment à faire demi-tour pour savoir ce qui se passe en approche verticale, mais avoir faim apporte des idées intéressantes, car comme disait mon grand-père point ne sert ne courir il faut avoir la sagesse de marcher et ça c'est une façon unique de voir que tout est bloqué, on a de la chance quand ça s'ouvre un peu, mais rapidement il faut renoncer, c'est une urgence maladroite, je fais ça pour vivre, mais pas complètement, ce qui se passe en général c'est une plaisanterie, mais quand ça devient sérieux, pas de problème j'ai tous les outils dans mon sac, un sèche cheveux, un aigle à deux tête, c'est très pratique quand veut couper du jambon et quand c'est midi je fonce tout droit pour ne pas rater le passage vers l'après-midi, ce qui est souhaitable surtout pour ceux qui changent sans arrêt de poisson, mais tout ça ne vaut pas ce que je fais quand tout est dépourvu d'intérêt, je me mets à l'approche secrète et je compte jusqu'à deux, ce qui fait que quand c'est le moment, je croise les doigts et j'entends l'oiseau chanter, vais-je le faire, ce qui n'est pas dit c'est l'importance de la satisfaction, on ne fait pas ça pour rien, il faut avoir une bonne raison d'aller chercher des poires, alors qu'on avait dit qu'on prendrait des pommes, mais là dans une intervention divine je comprends pourquoi c'est une chose impossible à saisir des deux côtés, et comme ce qui est là