les lois de la nature ont été

les lois de la nature ont été désordonnées par le manque de sagesse des chasseurs de grands trous, ce qui se passe toujours à l'approche de l'hiver quand tout est gelé, on reste plus longtemps dans son plat, pour que tout qui continue à faire joli c'est petite marché ouvert sur l'avenue principale quand tout est mis en condition de faire un court plus long que cinq manches, plus une gentille petite scène, ce qui fait que tous les participants ont réussi à joindre les deux bouts, de l'un et de l'autre en passant par le premier, le deuxième, le troisième, le quatrième, le cinquième, le sixième, le septième, je huitième, le neuvième, le dixième, le centième, le millième et on revient au début, comme ça le temps passe et ça évite de penser que tout est loin de ce que ça pourrait être pour que la mission soit pleine d'espérance et quand ça monte plus droit que jamais, dans un sens évident par ce qui se passe au milieu de l'envie avant que ça bascule dans le ridicule, et pour que ça continue en face de la mort, un petit miracle comme ça sans faire de vagues mais quand même quand j'y pense ça me fait du bien, ce qui est fait dans la vie sans conviction tombe très vite, alors que si on y croit avec toutes ses dents, tous se membres, tous ses neurones, toutes ses molécules et tout ça gratuitement sans abonnement ni prix baissé pour permettre au petit chat de boire son lait, et quand ça s'ouvre, il faut faire attention de ne pas tomber, ce qui peut arriver quand on va trop vite, et dans un certain sens c'est fait pour ça une fois qu'on a tout essayé il reste encore quelque chose à faire, ce qui n'est pas écrit dans le mode d'emploi que j'ai de toutes façon perdu le jour où j'ai compris que tout ce qu'on fait dans la vie est le résultat de multiples facteurs, dont la majorité nous échappe, on ne contrôle que dix pour cent de la vie, le reste est le fruit pourri du hasard, comme on fait ça sans y pense à arrive d'un autre côté, on n'y peut rien, c'est le moyen le plus sûr pour arriver à faire ce qu'on veut, car quand on a compris que rien n'arrive par hasard, ce qui fait que tout ce que je peux faire c'est imaginer ma vie ça ne me coute pas cher, et j'arrive à me débrouiller tout seul, mais si on passe à la phase deux, dans une réalité débordant le cadre étroit des relations délicates, alors dans la pénombre d'un fin d'après-midi, après avoir été dans tous les lieux de pouvoir, quand la venue est mis à contribution et que chaque pas est une avancée vers un objectif peu clair, mais cependant certain, ce qui n'est pas toujours facile car étant donnée l'avancée des moyens de production de réalité virtuelle, je crois qu'il est possible d'envisager un changement des habitudes car pour être au cœur de la peine il faut d'abord avoir essayé de prendre un mois ou deux pour réfléchir, ce qui se passe après c'est la conjonction de deux faisceaux, l'un opposé à l'autre par un procédé chimique inconnu, et quand je passe du temps à comprendre le sens de tout ça je reste coincé dans la partie de la tentative, je tente de voir ce qui m'échappe, et quand j'y arrive il est trop tard, alors que dans tous les autres exercices je crois avoir pu fonctionner à l'endroit, je sens que ça change au milieu de la tranchée, il faut faire un saut assez grand pour ne pas se coincer une vertèbre, on a besoin pour la suite de toute son énergie intacte, alors pour préciser l'effort, je croise les jambes et j'allonge les bras dans une position de prise de conscience, ensuite j'entame une circulation aléatoire, pour éviter de me prendre dans les cordes et en deux minutes j'arrive à être plus calme qu'avant