when is it now

jeudi 12 mars 2015

un jour par hasard je suis tombé

un jour par hasard je suis tombé sur un bois dur, ce qui m'a surpris car étant donné les considérations affectueuses je comprends que je me suis trompé, tout ce qui sort de la bouche c'est comme si on avait fait ça une fois dans sa vie, une fois tandis que tout ce qui se passe tout de suite, c'est un petit miracle, tout est organisé, il n'y a rien de plus tout est plus en savoir, ce qui se passe alors c'est quoi, ce mois, de mars, tout est en partance, il faut arriver à se maintenir dans un rôle, tout est précis, pas de passage sous la mer, mais une question qui chauffe, quand est ce le moment de changer la mémoire pour que tout ce qui commence soit nouveau, mais en fait dans un changement aussi considérable pourquoi ne pas commencer à comprendre ce qui est certain alors que dans toutes les autres fois je me souviens que ce qui ne marche pas c'est quand même le temps qui passe, ce qui n'est pas négociable, ce gros sable qui bouche l'aération, que faut-il faire, avoir la mer en face, ou bien le petit outil rouge dans le grenier, est-ce une façon de mettre la table, des mois que j'attends ça je ne vais tout de même pas m'allonger alors que la nuit n'est pas au rendez-vous, ce qui se passe alors dans la consécration évidentes des feuilles d'arbres qui tombent dans la sauce qui passe par là par hasard, dans des chambres décorées avec soin ce n'est pas la peine de pleurer, tout est beau c'est tout, ne pas aller mal, avoir la foi en soi, et grandir dans l'amour, que faire d'autre, avoir de la peine pour les morts, alors que tout ce qui se passe c'est un passage un peu bruyant dans les canalisations, mais pour ce qui est de la moutarde, je monte tout de suite voir ce qui se passe, j'aime l'ordre et je ne supporte pas le meilleur dans la choucroute, ce qui s'entend bien à mesure que le chasseur revient de la terre, un peu plus que ça et pour la fois où tout le monde était réuni une changeuse de monnaie étrangère qui se donne des airs, et voilà pour ça, et pour le temps mûr, des noires qui dansent, mais ce qui est le plus drôle c'est de voir tout le monde sans table, et sans avoir fait rien de mal, pour la simple raison que tout ce qui tourne autour de l'axe c'est une petite sortie qui s'annonce en criant, c'est simple mais ça vaut la peine de se mettre dans une situation absurde, car ce qui se passe dans le monde c'est un peu dans chaque dent, ce qui se croque n'est plus tenable, car ici on se sépare, c'est utile et doux, mais tout de même je comprends bien que ça peut aller dans ce sens, mais ça ne me rend pas tout ce que j'ai fait, car j'en ai fait et plus qu'à mon tour, mais tout de même, ça peut aller là, ce n'est pas si difficile, on pourrait même le faire en deux fois, comme ça on est content et tout va dans le meilleur du monde, aussi bien mais tout ici et pas ce que c'est fait mais la perle est dans l'eau, faut-il la cuillère pour être au plus près, et dans quel univers faut-il persévérer, je ne fais attention qu'à la patrouille des chasseurs à pied, c'est mon plaisir de déjeuner ensemble et quand ça change de station je salue tout le monde et je reste seul dans un compartiment couchette, qui sent bon la vanille, que faire d'autre que de savourer ce moment, tout est si beau et si délicat, je ne me sens pas si haut et pour ça je continue simplement à respirer sans avoir de sensation misérable, comment moi pourrais-je faire ce saut dans l'inconnu sans avoir peur de perdre mon temps dans d'horribles discours de foire en même temps que d'autres brillants qui diraient que ça c'est encore une manœuvre  des grains germés trop tôt dans le salon jaune

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