when is it now

mardi 26 avril 2011

si j'avais la possibilité de comprendre ce qui se passe, où sont les clés, elles sont perdues depuis longtemps, il ne reste que le choix, tu passes ou tu restes, et ne demande pas pourquoi, ça dépend de ta famille, de tes goûts, de tes expériences, tu mets tout ça dans un pot et tu mélanges, ensuite c'est une histoire de chance, d'époque, de moment, de lieu, il faut y croire, le besoin se fabrique, au départ on n'a rien, pas de difficulté, des journées qui passent sans rien dire, et puis arrive le vide, la vie? à quoi ça sert, de l'argent, du pouvoir, du mensonge, on ne veut pas voir, on ne cherche pas, mais la vérité tombe d'un coup, depuis toujours, ça recommence à chaque génération, on veut croire à l'humain triomphant, mais il faut bien se rendre à l'évidence, l'humain s'efface devant l'éternel, il ne reste rien d'autre que de la poussière, alors passe jour, demain, une autre idée

Aucun commentaire: