when is it now

jeudi 24 avril 2014

j'ai trouvé ce qu'il faut

j'ai trouvé ce qu'il faut pour vivre, un ensemble de pensées qui passent par l'endroit le plus éloigné de la solution et reviennent un jour de beau temps pour que je sois admis dans le cercle des nouveaux ciseaux pour que dans le choix de couper il y ait un passage plus sobre qui ne comprends pas le javanais mais là ce n'est pas grave parce que dans le premier temps il n'y a rien c'est après que ça pète en mille morceaux, pour l'instant ça tient comme ça peut c'est pour ça que je suis dans l'armoire pour vérifier que tous les vêtements soient bien rangés dans l'ordre défini il y a 20 ans ce qui change c'est le visage, les rides s'épaississent, les organes s'usent, tout est certain, car ici c'est la règle, il n'y a pas d'exception car ce qui est évident c'est de plaire à ceux qui sont prêt à décider que tout est pris dans la direction opposée, donc si je prend le sens au plus haut des possibilités, je prend tout de suite à droite dans le champ des souhaits et je fais demi-tour, ça commence bien, je ne connais pas la suite, mais déjà je trouve que dans un certain pas qui mesure le vide en faisant attention à ne pas perdre l'équilibre, c'est une technique merveilleuse qui ne peut pas s'isoler pour éviter de montrer que tout ça est facile, mais surtout le passage est vrai, il n'y a pas d'erreur, tout est opérable, car ici c'est un endroit qui ne va pas aller de l'autre côté, je crois fermement qu'un jour c'est prêt, c'est un changement de temps, avant et après sont dans la lutte, qui l'emportera, c'est toujours qui est l'arbitre, car dans ce qui peut être il y a toujours un temps mort, ensuite ça peut s'accélérer mais ça ne monte jamais jusqu'en haut parce que dans le sommeil il y a perte de conscience, alors quand le réveil sonne, je cherche le moyen d'échapper au monstre, j'ouvre les yeux et comme par magie je vois que je suis dans la chambre, c'est fini la course au milieu des corps nus et des salades marron mais comme faire pour être ce qu'on veut, il y a un procédé qui consiste à perdre tout ce qui est superflu et d'attendre que ça vienne, un jour il y aura des arbres en fleurs, des autruches, des mères de famille, tout ce qui sert à se raser, des montres qui indiquent l'heure, et pour que ça soit validé un tampon qui lorsque tout est prêt va imprimer sur la dernière page, a vécu, bon voilà que je repense à ce qui va se passer sans que je puisse décider pourquoi je fais ça, mais le plus drôle c'est que je ne peux pas faire autre chose, je suis arrivé à un stade dans ma vie qui n'a pas de gradin, mais un espace non fumeur qui respecte la santé publique dans un coin vert qui ne peut pas se placer au milieu mais qu'on accepte à la limite, quand tout est ressemblant et de l'autre côté ça vient en masse pour que dans l'histoire on soit toujours étonné que le shérif soit toujours celui qui porte une étoile qui brille au soleil

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