when is it now

mardi 20 octobre 2009

il ne faut pas dire jamais mais toujours, toujours de la merde, le transit se fait bien, il passe par Strasbourg, façon quenelle en bronze, les bretelles traînent au sol, c'est la détente après une durée journée de gaz en tous genres, des pets, des camions de saucisses à l'heure de manger, ça tord les boyaux, vilain le début liquide, ça parfume la chemise, mais c'est l'intimité, on sait bien que le corps n'en peut plus d'être lavé, il a besoin de sentir sa présence, tiens c'est Robert qui vient nous voir, nous on préfère l'été quand il vient, on lui dit alors pas trop chaud, alors qu'il sue dans son manteau d'hiver, n'ouvrez pas la bouche, ça ira comme ça, faut pas se formaliser mais faut respecter les distances, on ne parle plus que de la grippe mais une bonne odeur d'urine avec transpiration aigre et c'est l'arrêt maladie, saleté de pigeons qui s'enfoncent dans la possibilité de prendre une place qui normalement aurait du rester libre pour pouvoir s'y déplacer sans faire de déplacements qui mènent aux crottes de chiens, je n'ai rien contre les animaux mais ne pourraient-ils pas se rendre compte de la gêne que provoque leur manque de considération pour la sortie en lieu public, on fait attention à ses gestes, on avance seul même si d'autres chiens sont présents, mêmes si ce sont des porcs, mais on ne les connait pas, alors on ne bouge pas les oreilles, on sent à narines déployées, y'en a qui sont pas clair, des gros ventres avec des tissus rayés,

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