when is it now

jeudi 9 septembre 2010

c'est dans une attitude résignée que je vois l'évolution de mon corps, jusqu'où irais je me promener sans penses à mes jambes qui ne me portent plus, à mon coeur qui
lâche, mais ça ne me fait pas perdre le sourire, tant qu'il  y a du sourire on peut rire de tout et spécialement des lendemains tristes, quoi, c'est demain, alors soyons joyeux et profitons de l'instant si brillant et pourquoi je me mets à parler à travers du mur de ma conscience, il me faudrait du calme, une vie solitaire perdue au milieu de l'océan, n'entendant que les vagues taper sur la terre, une ennui profond pour oublier ma vie trépidante et vaine, à quoi sert de partir, il faut revenir, tout est comme ça, rien ne change, rien ne brille, il pleut dans mon âme, il ne peut pas toujours faire beau, alors je me sens capable de rebondir, juste pour le plaisir rapide de la montée, ensuite on redescend et on remonte jusqu'au moment où je me tais

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