when is it now

jeudi 2 septembre 2010

c'est maintenant que je peux aller, avant c'était trop dur, je peinais dans la côte, il fallait que je crois que c'était possible, mais l'effort était trop dur, il fallait que je renonce avant de pouvoir reprendre le chemin, un ennui que je ne pouvais supprimer de peur de perdre tout sens de l'envie légère qui ne vient qu'après que le moment dur soit plus court, c'est une réalité obscure qui se promène sans se demander si c'est à droite ou en haut ce qui change tout selon que vous êtes dépressif ou bien l'impression est harmonieuse, rien ne bouge, l'air est pur, mais il faut toujours qu'une pensée sorte du tableau, un vide s'ouvre dans le plein, l'humain est incapable d'éprouver durablement, son cerveau est plein de réveils qui sonnent à tous moments pour lui rappeler que l'heure tourne, demain il sera trop tard, il faut impérativement partir à cinq heures, autrement on se perd dans les détails et on oublie qu'il est maintenant le temps de se dire aurevoir

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