when is it now

mardi 10 février 2015

Un jour d'azur orienté

Un jour d'azur orienté mer pour être fait à la mesure d'une autre déesse au pied léger et pour le diner une autruche empaillée qui sert d'habitude de repose doigt quand après une gentille fille qui ne veut plus aller à l'école, on constate une évolution dans l'attente du mercredi qui n'est bon qu'en salade pour éteindre le besoin de toujours être le premier ce qui concerne un partie importante de la solution adéquate, en ce qui concerne le sens il faut admettre que tout est cohérent à condition de voir venir, ce qui n'est pas certain tant le petit n'est pas grand et que tout ce qui se centre au centre n'est pas accessoire mais que ça plaise ou non il est accepté depuis longtemps, même si de temps en temps ça vienne à la surface mais juste un peu pour le plaisir mais pour l'action il faut attendre d'autre témoins, ce qui entraîne une fatigue certaine, surtout le lundi, quand se rejoignent les instants fragiles et les angoisses de se tromper de route, mais en ce qui est le plus facile je descend tout de suite de rayon pour arriver au plus incertain des moyens de faire plus que ce qui est admis,et ceci n'est pas négociable, car étant fait pour la fête je ne me résous pas à entendre ce qu'on dit à tors et à travers, ce qui me gène le plus ce sont ces gens qui disent n'importe quoi alors que le jouet en bois n'est plus à la mode, ce qu'il faut maintenant ce sont des crayons qui voyagent dans la lune et des allumettes en ivoire, mais pour que ça ne se coince pas au premier croisement, je constate que tout est pris, il faut revenir plus tôt la prochaine fois, à moins que maintenant ça soit pris au sérieux, je ne sais pas quoi choisir, ça fait tellement longtemps que tout ça est parti en Amérique, mais moi je résiste, je fais de l'obstruction, je ne fais pas ce que je veux, j'essaye de prendre mes désirs pour des réalités, mais ça s'effondre assez vite pour que ça ne soit pas aussi déprimant que la fois où tout était réunis pour la semaine décisive et quand le tonnerre a éclaté j'ai retenu mon souffle, et d'un seul coup j'ai vu qui j'étais, ça ne m'a pas fait plaisir, c'est juste un souvenir, pas la peine de s'alourdir un mercredi ou un avoir quand être passe ses vacances dans un endroit merveilleux, pour que ça change un toit, des bottes, des fraises qui changent de couleur à l'approche de l'hiver, c'est monstrueux, je n'aurai jamais du accepter, comment revenir au départ, je n'attends rien d'elle, c'est pour ça que je l'aime, il n'y a pas d'autre issue, c'est une fois dans la vie, ça ne revient pas le samedi, car étant donné la fusion des sentiments, que peut-il se passer en dehors du cercle, si je sais par où passer c'est en me recueillant au plus profond de moi pour y chercher ce qui existe depuis toujours, de la terre de l'eau des animaux, de la folie, des merveilles dans le ciel, des odeurs de sang séché, et pour que ça monte tout droit une belle paire d'oignons, sans avoir au préalable éteint la lampe car ce qui se passe au milieu des rêves c'est une intrusion du malheur, ça n'arrive jamais seul, il faut toujours que ça se passe en commun, ce qui est fort mais aussi un peu démodé, mais ça ne me transperce pas, c'est autour que ça passe, dans un endroit que je ne connais pas ce qui ne peut pas devenir un souvenir, mais seulement une chance de vivre un moment de grâce infinie, mais tout de suite une buse qui vole dans le ciel, c'est ce que j'imagine qui vit, et quand je passe la main sur ma tête je crois savoir que ça pourrait devenir un jour quelque chose d'autre, pas forcément un aimant, mais une histoire vraie au milieu des oiseaux, ce que je comprends je le passe dans un camion qui ne peut pas se faire une ardoise tant la ligne est courte en ce moment, mais j'espère qu'un jour on pourra aller tous ensemble voir ce qui se passe en face, ce qui est formidable c'est d'avoir faim, et ensuite quand on ne peut plus attendre, je pense à dieu, que fait-il en ce moment, attend-il quelque chose, une réalité plus glorieuse ou alors de la confiture de fraise, je savais bien qu'en creusant un bête sortirait en chantant un air connu dans les années 60, mais plus qu'avant je crois nécessaire de voir au-delà des limites que nous fixe l'envie, car au creux de la vie réside un mystère qui ne veut pas se compromettre avec les idiots et les stupides qui ne peuvent pas se faire une autre idée que leur propre vie stérile, alors dans la boue la plus variée, je crois qu'il est temps de passer au clair, ce qui n'est pas pour me déplaire, car j'aime marcher sans but, avoir la maison en face, les oreilles dans le vent et le boulet qui souffle dans le désert, ce qui est bien quand on pense à tous ces pauvres, qui ne peuvent plus aller au cinéma depuis que la tempête à mis par terre l'organisation des jeux olympiques quel est ce dysfonctionnement qui oublie l'âge de la jonction entre deux parties égales qui se signale par un manque total de mystère, mais tout ça est mince, ça ne fait pas lourd dans la gentille action des trois silences, ce n'est pas encore prêt, c'est juste un moyen de passer du temps quand tout est bien placé à la bonne place et que ce qui est fait n'est pas encore le plus à plaindre, ce qui n'est pas encore définitif mais ça ce n'est pas ce que je pince, le plus drôle c'est que précisément là

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