when is it now

dimanche 22 février 2015

un jour que j'étais ouvert

un jour que j'étais ouvert je me suis rendu compte de la descente avant de monter et là dans l'inconnu je vois quelque que je connais, mais je ne me rappelle pas qui ça peut être, j'ai bien envie de demander à quelqu'un mais le temps que je me retourne je ne vois plus personne, alors je me demande si je ne mange pas trop de ce qu'on raconte dans le journal, ceci étant ça ne m'étonne pas car au moins sans l'expérience de l'inconnue je ne sais pas pourquoi je respire, car étant donné les connaissances de l'impur je m'étonne de ne pas voir dans le rue des évènements susceptibles de prendre part à l'enthousiasme de savoir que la vie est belle, car tout est beau, il suffit de se pencher pour voir la mer de Chine, et pour le reste c'est une question de temps quand tout calcule pour avoir la meilleure place, et que l'ancien devient nouveau à priori pour être plus ouvert que mort à moins que tout ça ne soit hésitant, alors pour faire court je suis pour la peine de peine, de peine en fonction de la peine à mettre ses chaussettes à cependant pour être fait mais quand ça monte c'est éteint et tant que ça montre un aspect rendu par la contre alors que dans un sens c'est fait à l'endroit, je crois qu'il existe une drôlerie qui vient de la vie quand on est nombreux il faut faire beaucoup de bruit, mais quand on vient tout droit il ne reste que des parcours variés, à moins de faire une prière, ce qui fait dans notre monde un moment assez subtile, car tout ce qui va est une pourriture, dans un temps faible mais assez fait pour les faibles, ce qui  se passe c'est un geste à faire en présence des ennemis, quoique je n'aime pas les faiseurs d'esprit, car tout ce qui vient à l'ouest est nouveau, il n'y a pas d'incertitude, tout est beau depuis que Neptune est placée en tête dans le taureau et dans l'essence qui permet aux arbres de se dresser, et pour que ça soit fait à l'image d'une incertitude, je fais un pas, et encore une fois des fois que ça ne passe pas, et pour ça je suis fait dans le moule, ça correspond à cette fois, ce mot, ce temps qui se dresse sans savoir pourquoi, car tout est fait dans le champ, ce qui n'est pas pour faire autre chose, c'est simplement un évènement simple, dans chaque partie, c'est identique, ça se marie, ça se trompe, c'est une erreur de programme, quand on avait le temps on pouvait faire un effort, mais maintenant que tout est pris, je ne peux plus faire semblant car tout est vrai, ce que je sais je le fais et tout ce qui partant, je le fais, car ce qui manque c'est un animal qui pourrait faire le tour, à moins que tout soit fait, dans un ordre qui ne peut avoir fait tout ce qui le sait, quand tout est mer et que le choix se résume à de la saucisse et pour que ça monte un choix unique qui ne nécessite pas d'expérience ce qui n'est pas sensible mais simplement actuel, ce qui est fait pour avoir et prendre un geste unique quand tout aura mis l'ensemble essentiel pour être dans un couloir blanc et que tout ce qui ressemble à ce qui est pour la chaussure droite puisse faire un tour pour avoir la priorité dans l'essence la plus droite, ce qui correspond à d'anciens principes qu'on ne peut admettre dans la modernité, car ici c'est fait pour ceux qui montrent que tout ce qui touche à l'essentiel est fait d'un milliard de sensibilités qui s'accordent à l'ensemble de premiers, dans l'idéal d'un monde non fait en fonction des rumeurs mais avec un mais, beaucoup de mais, que des mais pour des mais, et encore que je sois définitivement associé à mais dans un choix sensible pour être mis à disposition entre tant de possibles et que ça soit la fois unique

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