when is it now

samedi 28 février 2015

une fois sûrement que ça compte

une fois sûrement que ça compte car comme il faut être pour savoir ce que ça veut dire je comprends que tout est fait pour devenir un jour parti en carré pour arrondir le temps qui ne veut pas être droit, ce qui vient en passant par hasard, un temps défini, pas la moindre intention, juste quelques larmes pour avoir la chance de mettre tous les œufs dans un panier percé, si bien que ne pouvant pas attendre la maison, je reste sur le chemin qui un jour me mènera au plus loin du point qui ne veut pas dire son nom, car au milieu de l'après-midi je me rends compte que tout ce qui se faisait était bien fermé, donc si je prends mes actions pour savoir ce que ça fait, je ne prends pas ce qui ne m'appartient pas ce qui provoque en moi une incertitude, faut-il que je sois, et vers quelle direction se prendre un appui, je ne suis pas sûr de pouvoir voir ce qu'il me faut, car étant parti le premier je ne dois pas faire la vaisselle, mais attendre le moment de pouvoir faire un aveu, ce qui me manque c'est de l'huile pour frire les pommes de terre que j'ai collectionné depuis dix ans, ce qui fait tout le contraire, mais pour ça j'ai un remède que j'ai entendu parlé la dernière fois en attendant le bus, ce fut très instructif, car j'ai la même à la maison et tant que je pourrai soulever la pierre, je sais bien que tout le monde me regarde, mais ce n'est pas ça qui va le plus vite, c'est l'ombre qui descend de la montagne en chantant, quelle drôle d'idée, celle là qui voudrait trouver de l'or, mais moi je sais que la terre ne ment pas, ça c'est une drôle de maison avec une porte et une cheminée, comme si tout était faible, mais alors que dehors ça brûle, je ne vois pas ce qui est étrange, tant l'apparence est fausse, alors pour me divertir je continue à passer par là, ce qui fait beaucoup de poids, car étant dans l'autre partie de moi, je fais un effort pour avoir la satisfaction de mettre au bon endroit ce qui me parait être le plus instructif, car ma vie est un moment facile, tout est présent et tout est absent pour que ça montre le bout de son nez, une petite fête de village, c'est assez  pour  le moment ce qui n'est pas du tout définitif car étant donné le manque complet de sollicitude, je ne vois pas pourquoi c'est toujours ce qu'il faut, ne pourrait-on pas assoir le plus de monde pour éviter de partir au plus haut, ce n'est pas toujours facile de contempler la lune, car en bas c'est la guerre, alors dans un geste d'apaisement je continue à nier l'évidence, tout est donc fait pour être fait, il n'y a pas de moment propice, tout est à voir mais en ce moment tout est en poire, ce qui fait qu'on n'est plus capable de prendre appui, il faut aller seul jusqu'au bout, ce qui me convient car j'ai du mal à être en compagnie, ce qui fait que tout ce qui existe est  fait dans l'urgence, il n'y pas de feutre, tout est poli, ce qui se passe ensuite c'est une mesure pour rien, qui est nécessaire pour avoir la chance de pouvoir faire autre chose mais attention à la peinture, ce qui est mis à disposition c'est une moindre faiblesse, ce qui correspond à de l'eau prise dans un mot, juste ce qu'il faut pour avoir la sensation de perdre un petit morceau de foire, mais là dans un moment d'égarement je continue à penser que ça ce n'est pas la vie, c'est juste un entrainement pour avoir je jour présent dans la figure, ce qui n'est pas possible en faisant la mer, ce qu'on dit pour avoir la paix, et sans que ça monte au plus haut des gesticulations ce qui n'est pas plus que moins et encore moins ce qui est moins que tout ce qu'on attend quand tout est placé pour savoir que si ça continue c'est inutile

Aucun commentaire: