when is it now

lundi 31 janvier 2011

rarement j'ai été en hiver au point de me contredire pour enfin voir que le geste est libre de passer de haut en bas, un effort pour tenter de joindre l'utile à l'agréable, des mois pour y parvenir, j'ai l'impression de me rendre compte de l'éventualité prise en considération vertueuse, une fois c'est déjà beaucoup, pourquoi toujours demander que ça continue, une histoire dure un jour, comme le papillon vit du matin au soir dans l'ivresse de la liberté, on doit dans l'œil que le passé est encore en retard, un essai pas encore transformé en citrouille, la fée est en vacance pour noël, elle reviendra avec les boules, mais comment faire si on ne peut tout de suite se dire qu'on pourrait agrandir le cercle, voilà qui est dit, je n'en dirai pas plus, il faut s'attendre à un endroit convenu à l'avance, il est inutile de perdre son temps à essayer de redémarrer une histoire qui se termine, un jour il faut bien avouer que le saut en longueur finit dans l'écrasement, comme le saut en hauteur mais il y a une différence importante, dans le saut en hauteur on s'écrase dans de la mousse, le choc est doux, alors que demain arrive brutalement, pas de préparation psychologique, une rupture arrive à point, ça casse en une seconde, la seconde de la fin

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