when is it now

mardi 25 mars 2014

dans le temps passe des tonnes

dans le temps passe des tonnes de pression variées pour qu'à la fin tout soit normalisé en relations abordables, mais voilà que tout se dérègle, je dois passer par de  sales moments où tout explose dans le prochain numéro, ça commence par savoir faire du bruit, mais quand tout est décidé on ne peut plus reculer, parce que l'engagement est total, il n'y a pas d'excuse, c'est un temps fort qui peut déplacer les lignes quand on agite le drapeau blanc, ça veut dire qu'on se rend, c'est fini la guerre, on a perdu, maintenant il faut reconstruire le pays, ça passe par une réconciliation nationale, les ennemis d'hier se mettent autour de la table, et ils se parlent parce qu'ils se connaissent leur familles sont depuis toujours unies, alors que pour être le plus fort, ils ont cru pouvoir tout casser mais la vie leur dit tout est faible, sauf l'amour qui avec le temps gagne toujours, alors vous, les despotes, les manipulateurs, soyez sûr qu'un jour ça finira mal, parce que celui qui provoque la guerre, finit par la mort, quand tout ça est misérable on ne peut que prier pour que la lumière soit, c'est un pas vers la beauté d'un champ plein de blé des enfants qui rient, des parents heureux, il est fini le temps de la peur, quand des soldats venaient tuer les hommes, et violer les femmes, comment peut-on être bestial, l'humain a le pouvoir de détruire comme de construire, c'est une aventure pleins de goûts et de dégoûts, c'est l'envie de vomir qui passe ne voyant jusqu'où on peut aller pour garder sa place, c'est un grand sourire quand l'apartheid est dissoute, voilà pourquoi je rêve d'être toujours facile et ouvert, sans avoir de pensée négative, il est si facile de s'enfermer

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