super mince

super mince sans jamais être sûr, mais surtout dans la touche près de la mer, quand le soleil brille et qu'au loin ce n'est pas près, et vers un château qui a appartenu au roi maintenant transformé en musée je m'imagine être un géant qui peut d'un pas aller de ce temps à un autre plus incertain, car dans chaque minute il y a une roue qui tourne, où va-t-elle s'arrêter, bonheur, chance, désastre, angoisse, rebond à la suite d'une erreur de parcours, mais tout de suite c'est pris dans un tunnel vert, en charge d'une centrale nucléaire, alors je pars en bateau, pour que soit épargné le manque de sauveteurs en mer, et vers ce quai qui semble attendre le moment de sonner pour la soupe, je saute dessus et je prends tout ce que je peux, en me disant que la chance ne se décide pas, c'est un croisement de pékinois et de labrador, pour la couleur des yeux on s'est mis d'accord pour qu'ils soient noir avec des étoiles oranges, c'était pour changer du marron qui était un peu triste, surtout quand on ne pouvait plus dépasser un siècle de découverte en tous sens, aujourd'hui on peut aller en avion, manger des surgelés, voir la télévision en 3d, mais quand pourrais-je aller loin, moi ce qui m'intéresse c'est une possibilité de voir ce qui me permet de choisir le plus fort pour le porter au centre de ma vie, une fois et rien qu'une fois, de plus en plus et sans jamais vaincre l'inutile, car dans un moment aussi fermé, il y a de quoi vivre pendant des mois, pour savoir où se trouve l'origine, je ne vois qu'un moyen, attendre que ça passe en se rongeant les ongles, c'est pour l'instant une découverte des moyens de productions, ensuite je me mettrais à choisir le plus constant contributeur, le ressort le plus dynamique qui me transformera en monstre  de foire, mais surtout dans le bas, patience et determination