when is it now

mardi 28 avril 2015

ce n'était pas cependant ce que je vois

ce n'était pas cependant ce que je vois toujours en premier car au moment de toucher le sol je me suis rendu compte du manque qui me lançait dans l'aventure perfide pour avoir trompé mon envie de vivre seul, ce que je regrette le plus c'est d'avoir fait ça alors que tout autour c'était prévu pour partir avant de se prendre dans des tissus jaunes, mais quand la pulsion est plus forte que la raison ça fait des trous pour laisser passer la lumière, le problème c'est qu'au bout d'un moment ça devient écrasant, il faut promettre de rester là à faire ce que fait un gentil homme alors que depuis des années je ne suis qu'une drôle de machine ne cherchant que produire de l'énergie contre vents et marées et pour cette raison je me suis habitué à vivre en autarcie ce qui me pousse à chaque fois dans une folie de vivre au plus haut de l'espérance de faire ce que mer et terre veulent un jour partager, car ici c'est par ce que ça compte que tout entre au même doigt pour croire que le champ d'en face ne produit pas de pommes de terre mais avec tout ce que je fais c'est en vision nocturne que je vais faire mes courses pour éviter de voir que machinalement je sens que tout ce que je fais est une ouverture pour ça se contrat dans la peau, qui n'est pas officiel mais cette pensée est plus proche que c'est fonction de remercier le salut pour avoir fait ce que ça monte dans la tranche profonde qui cicatrise plus vite que la mer ne tombe dans l'oubli des os plongés dans l'espace qui se place dans les endroits fébriles et pour que ça soit fait faible, une drôle de dame, qui rit quand elle voit ce qui se passe dans la cave, car pour être bien établi comme boucher de Hanovre il a fallu avoir une sensibilité de taureau qui n'est pas dans la chambre mais avec des couteaux pour avoir fait une chose inoubliable dans chaque maison ouverte par l'ouragan puis dans chaque puits un mort qui attend de pourrir sans souffrir mais ceci est une époque soudaine dans le déchaînement des fous qui entrent en courant pour se faire couper en quatre, puis tranquillement ceux qui sont dans le coup se noient dans le fleuve plein de pourriture qui tremblent dans un poison débile qui ne peut pas se lever pour dire que tout ce qui existe est un mort qui avance dans le ciel pour croire que tout est mis dans une boite qui un jour sera présenté au ciel pour que toutes les fautes soit pardonnées pour que demain on soit ensemble dans la facilité de faire des saucisses et des frites pour que tout le monde mange dans un étroit plaisir qui ne tremble pas de ne pas savoir que c'est plus tard que tout sera détruit par l'angoisse et la sauce brune qui part dans les travaux pour dépasser le chant céleste car au milieu de la vie un visage se fait trace, ce plan est caduque, il est mort, il faut être vivant en montant tout droit dans le noir, ce qui n'est pas encore plus que plus mais un mot qui entre par là comme si tout était parfait avec des oreilles, de la peau, de la chair et pourquoi pas une pensée, que dire que faire pour avoir la paix, mais tout ça c'est merveilleux, car pour vivre il faut en avoir peu, c'est suffisant pour espérer alors que tout ce qu'on sait sur la méthode d'extermination est une leçon de souffrance abominable de salauds qui pensent que faire sortir les mieux pour entraîner les autres n'est pas une méthode qui court les rues, car en étant pris au pied de la croix, il faut faire confiance à l'appel des premiers qui n'ont pas dit pourquoi il faut le faire mais voilà que c'est plus encore que ça pour être fait dans la facilité, ce qui n'est pas encore complètement dit

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