when is it now

mercredi 29 avril 2015

comment dire vrai si le

comment dire vrai si le village ressemble à une carte perforée pour que demain soit une chance de vaincre le temps dans une bataille inutile car depuis des années rien ne bouge alors que pour être précis il faut élargir le passage, ce qui demande du temps car pour avoir tout le matériel il faut le commander en Chine et comme c'est moins cher par bateau je fais tout ce que je peux pour arriver à mettre la boite dans le bateau qui part tout de suite, puis dans une demi-heure alors que les oiseaux volent et que le chant des baleines ressemble à une symphonie en ut majeur, et comme c'est rapatrié je peux profiter de la vue qui est originale car c'est la première fois que je fais ça aussi rapidement, donc pour ça je suis d'accord de faire ça en plus, ce qui m'entraine à dire que tout ce que je fais je le dis aussi à d'autres personnes, je n'ai pas de secret même si la bombe est artisanale des chewing-gum gluants se font discrets pour être pris en bande allergisante qui remonte la rivière en espérant faire une rencontre qui change la vie quand on est perdu dans le château puis vers midi alors que la troupe déjeune une vois se lève pour annoncer une nouvelle qui fait sensation parce que tout est fait il n'y a pas à emprunter, ce qui pour l'instant est formidable, mais comme tout évolue ça peut se centrer contre nous, comme une évidence de faire facile mais voilà que c'est moi qu'on choisi pour aller prendre position à côté d'un monstre en cage, mais pourquoi je suis là, je n'ai rien demandé et d'abord qu'est ce que ça veut dire, je ne comprends pas le début, faut-il que je sois là ou assis dans la terre puis comme la réflexion est coupée, je reste là à attendre je ne sais quel messager qui me libèrera dans un instant bénéfique car j'y crois au passage plus loin dans les ronces, ce qui fait une chance de plus pour y faire un trou, mais comme c'est plus loin, il faut des jours pour essayer de percer le mystère, comme quoi quand on veut on fait ce qu'on peut et pour cette fois je sais ce que je fais car pour d'autres missions sur la dune je peux dire que tout ce que je fais c'est entre deux limites que je ne peux passer outre alors dans la joie de mettre un temps en sursis je vois bien que tout ce que ça fait c'est une cible mouvant qui chante la nuit, alors là non, ce n'est pas possible déjà que mercredi c'est tard que tout reste, alors dans une chambre éclairée je vois quelqu'un qui s'anime, bon c'est déjà ça, je ne m'attendais pas à ce que ça soit dans les abstractions mais comme je dis souvent tout seul quand j'ai une idée je peux me la mettre sur l'oreille, ça ne tient pas longtemps car je me baisse souvent pour ramasser des ordures que les gens laissent derrière eux, parce que tout ce qui se passe dans la tête c'est pareil en hiver, alors que dans la sauce qui tombe à goutte mesurée dans le patois d'une région de montagne il se peut qu'une faute soit commise dans l'espoir que tout le reste soit identique et pourquoi pas, je le dis franchement comme si j'ai le choix de placer un mot à l'extérieur des endroits qui semblent devenir autre chose dans le sens qui s'impose pour savoir que tout est inondé depuis que la mer est morte, puis dans un autre discours ce met en situation stable une autre fête qui tremble de plaisir pour que tout ce qui change soit placé au centre de l'animation qui entraîne tout pour savoir enfin que le changement c'est maintenant, ah bon, quand même et que m'aime pour dire ça tout seul faut en avoir du courage et comme d'habitude les gens sentent que ça tourne, il faut juste apprécier le moment

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