when is it now

lundi 27 avril 2015

que dire qui ne soit pas fini

que dire qui ne soit pas fini mais pour l'instant ça règne au plus bas c'est ce que je comprends en lisant ma revue sur les timbres, quand on peut avoir ça au même étage que tout ce qui ressemble à tout ce qui est différent mais pour l'instant pas de glace au chocolat car au plus haut dans la pyramide des âges il y a un truc qui me dépasse en largeur, parce que la hauteur n'est pas déterminante ça ne fait qu'une droite qui se courbe avec la santé, camion de bière ou autre fenêtre ouverte pour que le sang coule en même situation que le chant raconte une poire qui un jour sans soif mais avec beaucoup d'anis recentre le mois en plusieurs jours et comme par hasard se fait mal au poignet et quand c'est plus tard il faut bien se passer le savon, comme ça on a le temps de faire l'aller et le retour dans un autre endroit qui n'est pas pareil parce que dans les moments fragiles on ne peut pas se tenir dans des bretelles strictes, car pour être humain il faut savoir plusieurs choses, d'abord c'est l'instinct qui pousse à vouloir vivre, sans lui on serait des légumes, ensuite c'est la passion de vivre qui nous anime, sans elle on serait comme des vaches à brouter l'herbe, et puis pour finir la composition de l'amour, car sans lui on ne pas espérer, et ça c'est le plus important pour tenir sur la longueur, car si on ne vivait qu'un jour on pourrait s'en passer, mais comme on est en principe destiné à vivre au moins cinquante ans, vers la quarante septième année ça craque de tous les côtés, partout des pourquoi dis moi pourquoi la lune est ronde, dis moi pourquoi la terre tourne, dis moi pourquoi je suis né un jour et pas ailleurs en Asie ou en Afrique, et pourquoi c'est comme ça et pas autrement, c'est vrai qu'on s'habitue à la vie et qu'on trouve normal que les gens soient pauvres et d'autre riches, et pourquoi on n'arrive pas à tout partager, à quoi ça sert d'avoir trop d'argent, on n'a qu'un corps, qu'un cerveau, que deux jambes, deux bras, alors il n'y a pas de quoi en faire des tonnes, moi j'aimerai que tout le monde se dise, faisons une pause, essayons de vivres ensemble, ne laissons personne sur le bord de la route, et on verra que la vie est meilleure, mais en attendant je préfère attendre et prendre tout seul mon pied dans un espace que j'ai crée tout seul alors pas la peine d'en vouloir trop, je ne cherche qu'à m'échapper de quotidien, c'est vrai je n'arrive plus à croire que tout est prévu, il y a bien un peu d'incertitude, quand même on rigole ou on ne rigole pas, c'est une chance de pouvoir rire, car dans bien des cas ce n'est pas possible, je ne sais pas pourquoi, on a la capacité de le faire, mais des fois on est tellement pris dans la vie dans les problèmes qui naissent se développent s'enroulent autour de nous qu'on ne peut en sortir avant des années, après quand le temps est passé et qu'on en est sorti on regarde ça avec tendresse, mais pas sans amertume car on pense toujours dans le même sens le temps perdu il est perdu à jamais et comme c'est compliqué moi j'essaye de passer entre les fils et je crois en mon destin que j'essaye avec beaucoup de mal à maîtriser, et ce n'est pas pour ça qu'il faut s'attendre à quelque chose, car en général il ne se passe rien et c'est bien mieux comme ça car si on pouvait tout de suite prendre le haut mais que vaut-il faire celui-là il est fou, il est plus sage de rentrer le ventre et de voir que tout qu'on sait c'est dans une boite qui ne ferme plus car le temps l'a rouillé mais moi je dis tant pis si c'est comme ça c'est que ça doit être autrement, voilà c'est tout ce que j'ai à dire et je voudrai bien savoir qui a encore éteint la lumière

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