une fois que j'étais perdu

une fois que j'étais perdu je me suis demandé depuis quand, car quand je pense je n'agis pas, ça me prend trop d'énergie alors quelques fois je me réveille quelque part que je ne connais pas alors je fais demi-tour et rapidement je me retrouve alors que dans certain cas quand on est parti dans plusieurs directions il faut savoir naviguer, ce qui prouve que tout ce qui est fait l'est comme si tout est fait pour être mis dans une zone de compréhension, plus par ce qui est tendu que par ce qui est tordu car au même moment dans le Pacifique sud, un volcan sous-marin, se met à tousser, laissant échapper des bulles de méthane, ce qui provoque un raz de marée mais comme l'île est déserte on ne sait pas ce qui se passe, c'est le problème de la communication, quand on ne sait pas quelque chose, on ne peut pas en parler, et ça c'est bien sûr une limite à la compréhension des mystères de la vie, on ne sait pas par exemple pour quoi on existe, qu'est ce qui pourrait démontrer pourquoi on est né sur cette terre, à cette époque, et dans cette partie du monde, pourquoi, pourquoi, pourquoi, ce n'est pas la peine d'essayer de comprendre, tout est masqué de façon à ce que l'humain ne trouve jamais la solution, il peut y passer toute sa vie il perdra son temps, alors pour simplifier je me contenter de constater le problème, comme ça je ne m'ennuie pas et je fais ça librement et ce n'est pas ça qui va me donner la migraine, car moi j'aime bien la simplicité et comme le plus simple c'est de vivre simplement, il n' y a rien qui puisse m'ennuyer, et sûrement pas la décision de faire ça en se mettant un poil dans le nez, ou alors si on veut avoir une vision interne un mois de juin de plus dans la vie qui avance sans avoir fait de remarque sur la nouvelle fois qui fait que tout entier dans la chaîne on peut voir que ça c'est plus comme avant, car le mieux s'arrange avec le mien donc pour être dans la tête quelques fois incapable de prendre une décision je fais des exercices variés qui me donnent confiance en moi, assez pour passer en premier dans la question des paysans bretons, cette fois c'est la bonne je fais le tour et je sais où je vais, car pour enfin prendre un chemin hautement privé de tout je m'arrange pour ne pas dépasser une limite correcte, sans plus mais avec des avenues pour que les chars d'assaut passent sans casser les vélos, et comme l'altitude est bonne je règle la vitesse sur lourd, comme ça je peux toujours sauter en marche si on tombe sur une mine à fragmentation car la vitesse de réaction dépend de l'envie de rester indemne car il existe une loi qui dit que tant que tout va bien c'est que tous les élément qui ont été retenus dans la gestion courante sont dispersés de façon aléatoire pour que depuis le début jusqu'à la fin on ne voit que le résultat final et quand tout est fini je suis content de moi, car pour y travailler depuis quatre ans, je commence à savoir où sont les limites, comme le fer qu'on trempe dans l'acide pour le vieillir, il faut faire attention à ne pas le bouger trop vite car dans l'action pour la tranchée il donne plus en étant mis à plat alors pour savoir ce que ça fait dans l'idée de reproduire le processus pour le mettre à niveau je mets une bougie en forme de cloche à l'extrémité de l'engin du coup ça donne une impression de mélancolie dans la lisière d'un bois de l'extension internationale car pour savoir ce que ça met il faut entendre les oiseaux chanter leur joie de vivre dans les airs sans avoir à faire d'études de géographie, de mathématique, de mercure, de vrai, de faux, de tentations