when is it now

vendredi 23 septembre 2011

on ne sait pas ce qu'il y a au-dessus de nos têtes, un danger, un espoir, les pessimistes diront que c'est mauvais, les optimistes verront que le vie est joyeuse, nous étions bloqué quelque part, et voilà que le ciel s'ouvre, le ciel bleu efface les méchancetés, j'étais victime je suis loin, j'avance malgré mes lourdeurs, je ne peux m'en défaire, elles sont en moi, mais je peux les comprendre, je suis si j'étais moi, autrement tout va bien, le monde est monde, je suis à l'écoute des corps, que disent-ils, ils respirent, dans leur tête une montagne, un tumulte, une vitesse de la lumière, partir voir connaître passer prendre cendre, la fin est-elle le début, une histoire courte mais une envie longue, pleine, verte, on a en soi un poison qui grandit avec le temps, un jour il nous tue, c'est une envie lourde, le corps s'écrase, la haine monte, plus la peine d'espérer, l'humain s'arrête, vive l'humain, demain il fait jour, aujourd'hui est fini, on a tout vécu en un heure, les autres heures sont mortes, pourquoi doit-on aller jusque là, c'est un poignard planté dans l'espérance, nous étions libres, on va de nouveau être prisonniers, pour quoi faire, ça ne dépend pas de moi, la vie impose de choisir, sois tu vis, sois tu meurs, je choisis la vie, mais avec il faut aussi prendre l'angoisse des jours creux, il ne se passe rien, mais quand on arrive à ce qu'il se passe tout, on regrette le moment tellement faible qu'il en est beau, ces heures passées à l'ombre, qu'elles semblent lointaines, mais on ne peut choisir le milieu, c'est toujours en bas ou en haut, toujours trop bas ou trop haut, il faut être fort pour passer de l'un à l'autre, parce que d'être en haut est plus lourd qu'en bas, en haut on rencontre des salauds, des gens riches qui se payent du bonheur, alors que le vrai bonheur est gratuit,ah,ah,ah

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