when is it now

mardi 29 septembre 2009

pour entrer il faut payer, mais je n'ai pas d'argent sur moi, par contre je peux essayer de partir pour oublier que le passage principal ne coïncide pas avec la gestion des ennuis passagers, donc, tout ça ne va pas, il faut corriger le tir, vous partez à trois, moi je retiens l'émotion, il est deux et je suis seule, que faire d'autre, je passe discrètement, attention, chaque pas peut compter double, je marche dans l'angoisse, que va-t-il se passer sans que je puisse modifier le chemin, j'existe, je suis capable de prendre des décisions, alors pourquoi personne ne veut me répondre, j'en conclus pas grand chose, il faut bien respirer sans attendre autre chose, chaque moment arrive précisément, inutile de s'angoisser, je suis capable, mais personnes ne veut m'interroger, je suis seul devant ma glace qui ne me dit pas que je suis le plus beau, je ne crois plus aux contes de fée, la réalité est implacable, elle ne donne pas le choix, il faut aller jusqu'au bout, même si la règle n'est pas celle prévue initialement, tout change avec le temps, chaque minute perd ce qu'elle avait gagné, on ignore le principal, tout est accessoire, rien ne tient, que des mots rapides qui passent partout sans s'arrêter, mais celui qui écoute s'arrête tout le temps pour comprendre

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