ce qu'il faut faire c'est savoir

ce qu'il faut faire c'est savoir ce que c'est une fois que c'est fait il reste à faire ce qui ne vient pas dans le même cercle, c'est vendredi, alors bientôt il y a toujours faim, mais ça c'est une chance, une danse de la mort, des instants précieux, de la joie quelque part, et moi aussi je suis pour la libération des infirmières bulgares, mais comment faire pour que tout le monde vive bien, je fais un rêve que tous les gens soient heureux, ce qui veut dire qu'on ne fait plus de rondes la nuit pour empêcher le talon de claque avant six heures du matin, ce qui me déplace un muscle, dans la zone de mon espace intéressant, pour que demain j'oublie ma peine, mais pas ici, c'est un moment tragique, on a de la chance qu'on gâche dans des moyens faibles, alors que ça on aurait pu le faire tout de suite, mais il a fallu attendre la reine d'Angleterre pour qu'elle se mette à table avant de faire autre chose, mais ça ce n'est pas mon problème, moi je ne règles que les payements dans une solitude qui me pousse à faire toujours le même rêve, je suis au milieu de gens énormes, je suis armé d'une mitraillette et je tue tous les gens et même celui qui venait par derrière pour me surprendre, car dans la crosse de ma mitraillette j'ai installé un long couteau et quand le gros type s'approche assez de moi, d'une pression du doigt je sors le couteau et je le plante dans l'estomac de mon assaillant et j'ouvre une telle plaie que son intestin sort de son ventre