c'est toujours comme ça

c'est toujours comme ça que ça commence un peu à droite de la porte il y a une corde et dans la salle du bas tu trouveras de quoi boire jusqu'à tomber, ensuite tu te réveilles et tu m'apporte le petit déjeuner car le matin j'aime bien avoir le temps, ça ne me dérange pas de devoir faire tout ce que je sais, mais quand je me mets à partir, je ne sais pas jusqu'où je crois pouvoir aller, ce qui me donne la sensation de plaisir, car quand on est sûr de passer en montant, c'est que tout est réveillé, et pour ça, je suis très satisfait, c'est une  chance de pouvoir aller faire ça en ce sens que tout est tranquille, je ne surveille pas l'entrée, je sais que c'est le seul moyen de faire des rencontres, donc je prends des passages, je compte très bien jusqu'à dix, et quoique je sois pour ça, je ne mets jamais les pieds dans la rue, je trouve que ça ne va pas, il est utile de faire quelque chose, mais quand je suis à ce point de faire tout ce que je peux pour ne plus être dans l'obligation de dire que je suis prêt, car ce qui me manque c'est juste mille raisons d'y croire, ce qui fait que je suis bien incapable de prendre ce noyau et de le jeter par la fenêtre, car si je dois comprendre que c'est ça je prends une chose et je suis dans l'obligation d'y aller, c'est pour ça que je sais, c'est un monde connu, des gens qui m'agacent, des histoires de chat hurlant, et dans la campagne des forêts, des arbres, des feuilles des femmes