when is it now

jeudi 12 juin 2014

dans un siècle baigné de lumière

dans un siècle baigné de lumière il y a encore de la choucroute quelque part, c'est ce que je vois de l'endroit où je suis, un espace de plus dans la mémoire des humains, quand il s'agit de corps nus, mais tout de suite dans un sable encore plus sec, des traces de miteux, c'est vers ce moment que je me suis rendu compte de l'altérité quand d'un côté comme de tous les autres qui sont venus, c'est vraiment sympa d'avoir fait le déplacement et maintenant place au silence, il y a dans la vie des moments uniques qui se placent à l'intérieur d'un endroit sec, attention ça mouille, et tous ces corps qui bougent, mais pourquoi vouloir quand tout est mort, je ne veux pas faire ça sans avoir de la moisissure en courant, c'est simple je suis propre sur moi et je ne pense pas utile d'avoir à prendre encore une fois la porte quand on sait tout ce que c'est en héritage aussi bien qu'en maison à vendre, pour que là c'est plat, mais que faire des montres qui indiquent l'heure, il y a du temps à perdre, je vois bien que ça peut se perdre, alors je fais un nœud qui me rassure au point que je suis parti dans une rêverie ça ne m'arrive pas souvent il faut pour le faire une seul saison verte, ce qui est facile à faire dans un temps court, mais qui se complique quand on est parti en vacances, mais ça c'est une joie qui peut emporter le jambon, dans un moment fort, pour que tout le camp soit liquidé en moins de temps qu'il faut pour qu'une bombe atomique écrase Hiroshima, et pour l'entracte des bonbons, de la bière, mais surtout une source d'eau chaude pour délasser les pieds et puis quand l'exercice est fini il y a lieu de penser qu'il fallait quand même aller suffisamment loin pour s'apercevoir que dans le fond de la salle il y avait un monsieur qui venait de voir deux fois le même film, alors pour être sûr que tout est fait dans le bon ordre, un peu par habitude ou par la force des chose je me suis dirigé dans le sens opposé de mes envies et quand je suis arrivé à la limite de la joie, je me suis dit comme ça c'est une drôle de mission il va falloir y aller doucement en évitant de s'essuyer les pieds sur la brosse qui bloque l'entrée, et quand j'ai compris que ce n'était pas la peine de continuer j'ai pris un mouchoir et je l'ai jeté par terre 

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