il faut s'habituer à se déshabituer

il faut s'habituer à se déshabituer pour que ça passe au milieu sans avoir de pression autre que ce qui peut faire ça, pour que dans chaque intention il y ait de quoi faire ça en plus du reste dans chaque pas sur la terre vers un sas de décontamination à Fukushima, puis dans les champs autour de la centrale des poireaux contaminés par le césium radioactif qui entraine des cancers variés, car l'humain aime bien l'air pur, il n'aime pas les explosions atomiques, est-ce par manque d'habitude, car on sait que l'humain s'est adapté à la vie au cours de millions d'années, si au départ l'humain avait côtoyé des bombes atomiques, peut-être que depuis le temps beaucoup seraient mort, mais les survivants auraient développés des résistances à l'atome, mais comme on a découvert la bombe atomique très tard dans l'évolution, les rares cas d'explosions ont entraîné des milliers de morts sans apporter d'autres réponses quand à la survie de l'espèce, donc aujourd'hui on privilégie un air de bonne qualité sans nuage radioactif qui ne dépasse pas la frontière parce que dans le monde il y a un appareil digestif qui absorbe les microbes qui le font vivre, c'est ce qu'on apprend dans la guerre des mondes une histoire de H.G Wells qui raconte comment des machines indestructibles par l'humain envahissent la terre et au début ce n'est que destruction du monde, puis après que le héro se balade pour trouver une solution, elle vient toute seule, parce qu'on comprend que ces machines qui se nourrissaient des organes et du sang des humains a en même temps récolté les microbes qui sont en nous et c'est ça qui met un terme à l'invasion, car ces machines très puissantes on un talon d’Achille qu'on plongea bébé dans le Styx sauf le talon par lequel sa mère le tenait, ce talon c'est la force de l'humain qui a besoin des microbes pour contenir sa violence