la joie m'éclaire

la joie m'éclaire comme si j'avais placé mon corps dans la lumière divine, mais je dois faire le tour pour savoir si tout va bien, car dans l'inquiétude je pense que tout mène à dieu, ce qui me dit que je suis un humain capable du meilleur comme du pire, car dans ce cas-là, je suis obligé d'être vrai, ce qui n'est pas facile, car ce que je voudrais c'est d'être léger, ce qui ne correspond pas au manque initial, donc pour être complètement fait à l'image incertaine d'une réalité défaillante, je fais ça pour ça et aussi pour autre chose que je ne connais pas encore, ça viendra après quand j'aurai fini de faire ça pour avoir la chance de mériter un pas de plus dans l'espérance qui va m'entraîner à faire tout le temps un effort pour que mon plan coïncide avec l'envie de tous les autres soupirants, ce qui compte le plus dans le choix de faire exprès, c'est un épisode qui semble aller de soi, mais en réalité, c'est un concours pour savoir ce que ça fait de se prendre la tête dans une petite sortie en face de la boulangerie, comment savoir ce que ça fait de prendre toujours à droite, et comment arriver à l'heure quand c'est fermé depuis deux jours, voilà ce que je dit quand je suis capable de comprendre où est la limite car en étant conscient de la route qui me mène plus loin, je prends chaque respiration que je dépose au milieu des instant précis qui peuvent très bien faire une chose ou une autre dans la direction qui va bien,  une fois que je sais ça, ça peut aller car ici, c'est toujours la même chose alors ce qui va c'est un carré qui n'est pas rond