une fois suffit

une fois suffit après on est complètement plat ce qui ne peut pas se faire longtemps, car c'est une vie qui passe ce n'est pas comme si tout était fait, il y a des trous, et dans un geste précis je prends appui sur une aide qui me permet de continuer à faire ça pour avoir le temps de me retourner, si derrière moi c'est vert, c'est que quelque part je suis en état de stress, et pour que je retrouve un idéal, j'ai besoin de faire un voyage en Asie pour que là au milieu des chinois je sois plus ouvert qu'au milieu des autruches ce qui me fait plaisir car dans ma vie j'avais l'impression de faire du sur place, ce qui ne me gênait pas mais au bout d'un moment je me suis dit que ça ne pouvait pas durer, il fallait que je trouve enfin le chemin qui me mène dans une histoire plus dense, car dans un espace on peut en mettre des intentions, ce qui fait ça en dehors des gens, mais avec la certitude de faire ce qu'il faut car autrement on est complètement fou, ce qui ne peut pas avoir tout ce qu'on sait, car c'est une ambition c'est d'avoir de la chance une autre fois c'est mieux mais quand j'imagine que je suis fait pour ça, je ne reçois rien quand j'envoie une invitation pour que ça ne puisse pas avoir la vision interne car ce qui est là c'est tout ce que je veux, mais avec une sorte de traction qui pousse tout le meuble dans une petite circulation et quand ça s'arrête je fais un tour pour voir le musée des papillons en liberté ce qui me permet de faire une pause, car aussi bien dans l'art que dans le lard il y a toujours un moyen de faire un peut plus qu'avant car au-dessus des arbres il y a un moment d'hésitation qui traduit une peur de vivre