when is it now

lundi 16 juin 2014

ce qu'on disait avant

ce qu'on disait avant c'est encore ce qui peut changer, mais tout de suite une information à faire passer en tête avant que ça soit fait autrement, car dans le choix c'est une courte avance, ça fait toujours ça quand on sait pourquoi le jour se lève, il est l'heure de manger, alors je prends tout ce que je trouve dans la forêt et je commence à manger de l'herbe car aujourd'hui je me prends pour une vache, mais le problème c'est que mon estomac ne digère pas l'herbe fraîche, alors je passe la journée à vomir du vert, ce qui n'est pas agréable, je pensais que j'allais passer une journée plus agréable, mais c'est sûr quand on n'y connait rien on risque de perdre du temps, donc la prochaine fois je ferai attention si je veux me conduire en instrument de musique, je devrai plutôt être moi-même car ça c'est que je fais le mieux en général, donc si je suis moi je vais tout droit pour ne pas avoir à choisir si la droite est mieux que la gauche, c'est donc une direction unique qui me mène au milieu de rien dans un désespoir proche de la nullité mais heureusement que j'ai une ressource cachée que je n'utilise qu'en cas de crise profonde, c'est le moment qui change de cap, en fonction d'une émotion qui ne cesse de passer son temps à mettre tout ce qu'elle trouve sur le compte du hasard, mais moi je sais bien ce que ça montre, une tentative de ne pas croire que ça peut se passer aussi bien dans un moment sympathique à l'abri des bombes et des gens méchants, ce qui peut se comprendre car ici c'est la France, ce n'est pas le Nigeria ou l'Irak, c'est comme ça que je respire tranquillement, car la paix c'est un moment de grâce essentielle, c'est que ça qui se place dans une corbeille pour que tous les oiseaux chantent la gloire de dieu en se mettant sur une branche qui pourrait un jour devenir une étagère mais nous n'avons pas le temps d'attendre, rapidement il faut aller ailleurs et ne plus revenir sur nos pas, car en ce moment il se passe quelque chose quelque part, alors j'attends que ça vienne jusqu'à moi, dans un cercle qui va peut-être s'ouvrir sur un carré, mais il est trop tôt pour en parler, pour le moment c'est urgent, ça ne cesse de monter et descendre sans jamais s'arrêter, je dois donc faire le tour plusieurs fois et recommencer au début pour être sût que rien ne soit laissé au hasard parce que dans une tempête de blé dur il y a au milieu un autre cas qui comprend que dans un certain autre pas il trouve une chose qui lui permet de faire ce qui pourrait bien l'amener à la suite, mais là pourquoi ça coince un instant de plus une source d'avoir, mais tout est pris, il faut se mettre en course pour essayer de voir avant que ça ferme et voilà  que ça fonce dans le mur, vite il faut que je trouve une autre issue, comme ça je pourrais aller plus loin dans un coin qui est plus grand, mais ça c'est pour tout ce qui se passe, dans un tour qui prend loin dans un sens, mais ça c'est fort, une fois je me souviens, il fallait porter un mot, une sorte de précision ancienne, avant que ça soit fait automatiquement, un saut en haut qui change de nom en arrivant au poteau noir, pour que ça ne se mette pas tout en trouble aussi beau qu'inutile et ça commence toujours comme ça, une  purée de carottes, des gens qui passent et tout ce qui reste à mesure que le temps passe pour essayer de faire ça sans partir en courant, ce qui ne va pas toujours dans les mêmes coins

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